1ère Partie
Elle venait de commercer la lecture d’un nouveau livre emprunté le matin même à la bibliothèque.
Cette histoire-ci parlait d’un dragon et d’une bergeronnette, un petit oiseau d’Europe.
Lui, le dragon venait d’une famille où rien n’était pris à la légère tout pour le plus devait et était calculé même ce que l’on pourrait penser incalculable. Ses parents avaient supputé au plus juste sa conception car il devait naître sous les meilleurs astres et tel fut le cas. Il naquit garçon ce qui lui valut le nom de « L’attendu ». Dès son premier cri il avait un destin à devoir accomplir. Après tout le mal que ses parents s’étaient donné, lui représentait toutes les attentes de ces derniers. On fit une grande fête où chaque convive apporta à ce petit dragon l’espoir d’un grand destin.
Dès son plus jeune âge il fut instruit mais dans une optique du plus. On lui enseigna la vie, la culture, les habitudes, les histoires, les traditions, la médecine des dragons mais puisqu’il était « L’attendu » on lui ouvrit les yeux sur le monde, sur les cultures et les mœurs d’ailleurs. Il étudia, étudia, étudia et ce sans relâche. Sa famille dragon avait mis tant et tant d’espoirs sur ses épaules qu’en aucun cas il ne pouvait les décevoir. Car il s’agit d’honneur. Il devint très instruit et érudit du monde. Il voyagea, il partit même s’installer sur divers continents pour encore et encore étudier et savoir.
Il y avait cependant un domaine qu’on ne lui permis pas d’explorer car souvent ce domaine à le pouvoir de distraire l’être du destin pour lequel il est « inscrit » et lui il était en devoir d’un grand destin.
Notre dragon obéissant se retrouva donc avec les connaissances des sages de ce monde mais ne connaissant que peu du domaine des sentiments. Ce qui le rendait plus que « gauche » dans ses approches lorsqu’il désirait séduire !!!
Elle venait de commercer la lecture d’un nouveau livre emprunté le matin même à la bibliothèque.
Cette histoire-ci parlait d’un dragon et d’une bergeronnette, un petit oiseau d’Europe.
Lui, le dragon venait d’une famille où rien n’était pris à la légère tout pour le plus devait et était calculé même ce que l’on pourrait penser incalculable. Ses parents avaient supputé au plus juste sa conception car il devait naître sous les meilleurs astres et tel fut le cas. Il naquit garçon ce qui lui valut le nom de « L’attendu ». Dès son premier cri il avait un destin à devoir accomplir. Après tout le mal que ses parents s’étaient donné, lui représentait toutes les attentes de ces derniers. On fit une grande fête où chaque convive apporta à ce petit dragon l’espoir d’un grand destin.
Dès son plus jeune âge il fut instruit mais dans une optique du plus. On lui enseigna la vie, la culture, les habitudes, les histoires, les traditions, la médecine des dragons mais puisqu’il était « L’attendu » on lui ouvrit les yeux sur le monde, sur les cultures et les mœurs d’ailleurs. Il étudia, étudia, étudia et ce sans relâche. Sa famille dragon avait mis tant et tant d’espoirs sur ses épaules qu’en aucun cas il ne pouvait les décevoir. Car il s’agit d’honneur. Il devint très instruit et érudit du monde. Il voyagea, il partit même s’installer sur divers continents pour encore et encore étudier et savoir.
Il y avait cependant un domaine qu’on ne lui permis pas d’explorer car souvent ce domaine à le pouvoir de distraire l’être du destin pour lequel il est « inscrit » et lui il était en devoir d’un grand destin.
Notre dragon obéissant se retrouva donc avec les connaissances des sages de ce monde mais ne connaissant que peu du domaine des sentiments. Ce qui le rendait plus que « gauche » dans ses approches lorsqu’il désirait séduire !!!
La bergeronnette était née sans même être attendue, couvée par sa mère comme par réflexe. Dès la sortie de sa coquille on attendit d’elle rien d’autre que le fait qu’elle mène une vie de bergeronnette. A cette époque elle était bien innocente, elle aimait la vie plus que tout, elle chantait, volait, rigolait avec ses copines et copains volatiles dans une légèreté naïve.
Sa confiance dans la vie était totale et la méfiance ne faisait aucunement partie de son univers.
Elle en fit bien malheureusement les frais !
Un matin un « amoureux » des oiseaux l’attrapa dans ses filets. Ce dernier la bagua et lui réserva une vie en cage.
De cette période, la bergeronnette en fut plus que traumatisée. Seul son amour pour la vie lui permit de survivre jusqu’au jour où elle réussit à s’échapper. Et après bien des années de captivité elle retrouva la liberté. Elle goûta à-nouveau petit à petit à la joie de voler dans un ciel de printemps, aux plaisirs de rencontres diverses. Bien sûr tout ne fut pas facile. Mais elle se retrouva elle, la bergeronnette joyeuse.
La méfiance fut dès cet instant son maître-mot. Elle avait une phobie de toute idée ou représentation d’enfermement, sa soif d’espace était inétanchable. Le souvenir même de la cage, lui faisait instantanément monter aux yeux des larmes qu’elle ne pouvait retenir.
Et ce matin là, par le plus grand des hasards notre petite bergeronnette rencontra le dragon….
La petite fille s’arrêta, elle referma pour l’heure son livre, elle décida d’aller faire un tour en bicyclette. Mais ce faisant elle garda comme suspendus ses deux êtres si différents dans l’instant de leur rencontre. Tout dans son imaginaire était possible. Et elle s’amusa à les créer volant et jouant ensemble, ou à passer l’un à côté de l’autre sans se voir, ou encore que le dragon maladroit ait des propos qui fassent fuir la bergeronnette…
L’histoire la captivait !
Quelle allait en être la suite ?
Pour accéder à la suite, cliquez ici
Sa confiance dans la vie était totale et la méfiance ne faisait aucunement partie de son univers.
Elle en fit bien malheureusement les frais !
Un matin un « amoureux » des oiseaux l’attrapa dans ses filets. Ce dernier la bagua et lui réserva une vie en cage.
De cette période, la bergeronnette en fut plus que traumatisée. Seul son amour pour la vie lui permit de survivre jusqu’au jour où elle réussit à s’échapper. Et après bien des années de captivité elle retrouva la liberté. Elle goûta à-nouveau petit à petit à la joie de voler dans un ciel de printemps, aux plaisirs de rencontres diverses. Bien sûr tout ne fut pas facile. Mais elle se retrouva elle, la bergeronnette joyeuse.
La méfiance fut dès cet instant son maître-mot. Elle avait une phobie de toute idée ou représentation d’enfermement, sa soif d’espace était inétanchable. Le souvenir même de la cage, lui faisait instantanément monter aux yeux des larmes qu’elle ne pouvait retenir.
Et ce matin là, par le plus grand des hasards notre petite bergeronnette rencontra le dragon….
La petite fille s’arrêta, elle referma pour l’heure son livre, elle décida d’aller faire un tour en bicyclette. Mais ce faisant elle garda comme suspendus ses deux êtres si différents dans l’instant de leur rencontre. Tout dans son imaginaire était possible. Et elle s’amusa à les créer volant et jouant ensemble, ou à passer l’un à côté de l’autre sans se voir, ou encore que le dragon maladroit ait des propos qui fassent fuir la bergeronnette…
L’histoire la captivait !
Quelle allait en être la suite ?
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Auteur : Véronique LOVENS Sexothérapeute, Sexologue Clinicienne Paris
www.sexologue-sexotherapeute.com
Illustrateur : Alexandre MOONEN
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