Cette après-midi là, la petite fille était allongée dans les herbes hautes. A un moment elle avait comme l’impression de faire partie du décor. Elle était là couchée tout comme ces herbes étaient dressées. Et tout comme elles, la petite fille regardait le ciel.
Lorsque soudain son regard fut attiré par un être aussi silencieux que discret.
Ce nouveau venu ne se méfiait pas car elle était dans le décor. Elle se laissa alors aller à le contempler.
Comme il est doux de regarder le vol d’un papillon, on pourrait croire que c’est une fleur perdue qui chercherait comme à se trouver un coin rien qu’à elle. Un coin où elle y serait bien.
Le vol d’un papillon est si fin, si fragile que parfois on en viendrait à avoir peur de respirer.
Ballotté par la brise légère porté par le souffle de l’air ainsi va son vol.
Et puis comme venu de nulle part un deuxième, aussi léger que beau. Une rencontre, une approche et puis un vol ou plutôt une danse, à deux, se posant sur le vent comme si ces deux êtres si fragile pouvaient dans l’instant dominer l’élément, le mettre à leur merci.
Une ascension l’un avec l’autre comme irrésistible. Donnant l’impression de ne point connaître le but mais le vol est si précis, l’attention de l’un n’est que pour l’autre et inversement, parfaite harmonie.
Grâce, est un vol de papillons.
La petite fille se senti étourdie, elle avait cette impression étrange et si agréable de ne faire qu’une avec cette nature qui l’entourait. Elle était, là, tout comme les herbes hautes, les arbres proches qu’elle ne pouvait distinguer de par sa position couchée mais dont elle entendait la présence par le jeu du vent dans leur feuillage. Elle se sentait on ne peut plus vivante, on ne peut plus présente; présente à toute cette vie qui l’entourait et qui là, dans le moment la remplissait de beau.
Elle savait cependant que l’heure de rentrer se faisait proche et doucement elle s’obligea à se résigner à quitter cette harmonie dans laquelle elle savait si bien se laisser glisser.
Lorsque soudain son regard fut attiré par un être aussi silencieux que discret.
Ce nouveau venu ne se méfiait pas car elle était dans le décor. Elle se laissa alors aller à le contempler.
Comme il est doux de regarder le vol d’un papillon, on pourrait croire que c’est une fleur perdue qui chercherait comme à se trouver un coin rien qu’à elle. Un coin où elle y serait bien.
Le vol d’un papillon est si fin, si fragile que parfois on en viendrait à avoir peur de respirer.
Ballotté par la brise légère porté par le souffle de l’air ainsi va son vol.
Et puis comme venu de nulle part un deuxième, aussi léger que beau. Une rencontre, une approche et puis un vol ou plutôt une danse, à deux, se posant sur le vent comme si ces deux êtres si fragile pouvaient dans l’instant dominer l’élément, le mettre à leur merci.
Une ascension l’un avec l’autre comme irrésistible. Donnant l’impression de ne point connaître le but mais le vol est si précis, l’attention de l’un n’est que pour l’autre et inversement, parfaite harmonie.
Grâce, est un vol de papillons.
La petite fille se senti étourdie, elle avait cette impression étrange et si agréable de ne faire qu’une avec cette nature qui l’entourait. Elle était, là, tout comme les herbes hautes, les arbres proches qu’elle ne pouvait distinguer de par sa position couchée mais dont elle entendait la présence par le jeu du vent dans leur feuillage. Elle se sentait on ne peut plus vivante, on ne peut plus présente; présente à toute cette vie qui l’entourait et qui là, dans le moment la remplissait de beau.
Elle savait cependant que l’heure de rentrer se faisait proche et doucement elle s’obligea à se résigner à quitter cette harmonie dans laquelle elle savait si bien se laisser glisser.
Auteur: Véronique LOVENS Sexothérapeute, Sexologue Clinicienne à Paris
www.sexologue-sexotherapeute.com
Illustrateur: Alexandre MOONEN
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