Pavots. © Céline Saby
Cet article naît d’une rencontre, d’un choc esthétique survenu au cours de l’exposition Nicolas de Staël en septembre 2018 à Aix-en-Provence. La première avec le peintre.
Comment l’hypnose enrichit-elle notre regard sur les toiles et les écrits de Nicolas de Staël ? Comment son approche du réel enrichit-elle à son tour notre approche hypnothérapique ? Je vous propose, à travers mon expérience personnelle ou partagée avec des patients, d’établir un dialogue fécond entre hypnose médicale et l’art du peintre et d’en tirer quelques interrogations subjectives d’ordres thérapeutique, éthique, philosophique voire poétique en vue d’un échange d’expérience.
Aux commencements, Nicolas de Staël naît à Saint-Pétersbourg le 23 décembre 1913 du calendrier julien, et le 5 janvier 1914 du calendrier grégorien. Une date unique viendra fixer le terme de sa vie le 16 mars 1955 quand son corps heurtera le trottoir en contrebas de son atelier d’Antibes d’où il vient de se jeter. Deux temps pour naître, deux espaces culturels, un écart en lui déjà inscrit et un temps arrêté, tache rouge sur l’asphalte. Entre les deux, la vie. Une vie de peinture. Mais revenons à Aix-en-Provence. Ce tableau est là, devant nous, ma compagne et moi-même, 16 cm x 24 cm de peinture : Le soleil, 1953. Des jaunes, des orangés clairs crêmés de blanc. D’autres jaunes plus prononcés, et au-dessous, du bleu déposé dans l’ombre de la nuit. Au-dessus, des aplats de peinture étirés composent le feu naissant d’un jour simple, unique et joyeux. La toile, petite par la taille, nous invite à s’approcher d’elle, à caresser du regard les épaisseurs de sa pâte qui laissent fuiter la lumière à travers interstices et transparences. Notre regard s’absorbe dans les courbes et coulures figées, traces implicites du peintre et du temps écoulé. Présence d’absences.
Ce qui va se passer, sublimé par le partage, est extraordinaire. Alors que nous détachons notre regard du tableau pour nous éloigner tout en jetant un oeil en arrière pour en conserver l’impression, chacun de nous aura la sensation forte et troublante que le soleil s’élève dans la toile ! Oui, réellement. Que l’horizon du sol, matière et frontière incertaine de terre et de ciel, s’enfonce tandis que soleil s’élève. Sensation d’irréalité. La perception d’une mise en route d’un temps, celui du tableau. Un autre temps dans le temps de l’exposition. Temps issu d’une lumière devenue plus claire et éblouissante, temps né de la perception d’un mouvement, comme une vie possible et naissante. Effet « hypn’optique » ?
Thérapeute, c’est par tout ce que nous savons et ce qui nous échappe, par les mots et l’impossible à dire, par tous les « nous » du corps en mouvement et notre trame narrative que nous entrons en relation, que quelque chose se produit. Dans le corps comme dans la rencontre, se laisser glisser, s’y réassocier ou s’associer agréablement dans un dialogue charnel d’où surgit l’inattendu d’une remise en route spontanée des horloges ? Ce temps est recommencements ouverts et porteurs de possibilités jusque-là inenvisagées... Ici le corps du tableau est porte d’entrée dans le vital en lui, pardon : en nous.
Et puis zut, tout cela s’embrouille ! Nous ne pouvons donc, après ce lever de soleil, qu’être happés par cette phrase de De Staël, inscrite dès l’entrée de l’exposition comme une invite : « On ne peint jamais ce que l’on voit, on peint à mille vibrations le coup reçu à recevoir, et comment crier sans colère une tête à la main et une plateforme de l’autre » (lettre à Pierre Lecuire, 3 décembre 1949). Nous voilà subitement conduits au cœur de ses oeuvres, de nous-mêmes, et de nos tableaux cliniques. Ses toiles dans cet écart au réel nous arrachent à nos habitudes, à l’illusion de durer dans le même et nous interdisent de nous confondre avec ce que nous voyons ou croyons de nous-mêmes. Ici, sur la toile tendue, tout bat, bouge et crie, rien ne se pose, la vie n’est qu’instants. De Staël nous arrache à l’illusion de croire que nous voyons le réel du monde. Ses tableaux sont des mots de chair et de matières picturales intimement emmaillées dans le vivant, que le peintre arrache au réel et à son corps en un point de rencontre.
Ils font de nous des voyageurs embarqués dans son monde où comme dans ce lever de soleil, nous vivons, voyons et entendons. Rencontres hypnotiques avec le support pictural. Parti découvrir les lumières d’Italie, il ne peint pas. Il écrit à Jacques Dubourg en septembre 1953 : « Et à part la nage dans toutes les mers, je ne fais rien sinon quelques croquis. » Ne rien faire. Laisser le corps s’étirer, nager, observer, s’imprégner. Puis se laisser aller aux temps des traversées. Du temps laissé à se réassocier, se recombiner, à s’agrandir. Différer donc puis enfin revenir chez soi et peindre dans le temps des fulgurances. Temps des trouvailles et retrouvailles. Laisser s’éprouver la vie en soi, dirait Michel Henry. La toile donc, surface de rencontre et de liberté, interface au monde. « L’espace pictural est un mur mais un mur où tous les oiseaux du monde y volent librement à toute profondeur », dit-il dans une lettre à Pierre Lecuire du 3 décembre 1949. Presque un visage au sens lévinassien. Lieu de profondeur et d’accès aux surgissements. Pour nous thérapeutes, accès à un lieu vivant, de passage, de partage de liberté et d’échange générateur de possibles avec nos patients. Une porte ouverte dans le cadre de la consultation ? Passage incessant de l’enchaînement fixité à l’enchaînement mouvement. Avec ou sans les mots, dans la rencontre et le silence.
Antoine est étudiant, il vient au cabinet depuis l’enfance mais aujourd’hui est un jour différent, il peine à formuler un malaise. Le geste est hésitant, son regard perplexe est habité d’une lumière douce et voilée. Son corps se pose différemment sur la chaise. Il cherche quelque chose. J’ai besoin de temps pour le voir tel qu’il est aujourd’hui, m’ajuster, et découvrir l’adulte qui prend place. Il peine à se mettre au travail et les examens approchent. Il s’isole, repoussant les choses, se sentant en décalage.
Le temps, dans notre face-à-face, passe péniblement, repoussant la rencontre. Ou plus justement la rencontre tarde rendant le temps poussif. Le temps naît-il de la rencontre ? Arrive le moment où je prends conscience que le canevas de mes questions logiques et continues fait blocage. Je fais fausse route. Fausses notes. De Staël : « Dès que je sens une logique trop logique cela m’énerve et je vais naturellement à l’illogisme » (dans une lettre à Douglas Cooper, Antibes, janvier 1955). Je lâche, traversant un léger vertige, puis une détente, enfin une sensation de libération. Instants que j’associe maintenant à ces mots dans cette même lettre adressée à Douglas Cooper : « Trop près ou trop loin du sujet, je ne veux être systématiquement ni l’un ni l’autre… Je ne sais ce qui vaut le mieux et je m’en fous tout compte fait, pourvu que cela s’équilibre comme cela peut, de préférence sans équilibre. Le contact avec la toile, je le perds à chaque instant et le retrouve et le perds. » Je me suis arrêté de parler. Antoine me parle maintenant de tracés particuliers qu’il prend pour répondre aux examens. Chemins qui l’amènent à la solution et sa difficulté à faire accepter sa tournure d’esprit aux autorités universitaires.
Cette non-reconnaissance génère conflits, procrastination, retrait et culpabilité. Lui-même, peu en confiance, est dérouté par ce qui l’habite. Une deuxième rencontre lui permettra d’entrer en transe, de s’ouvrir dans le contact sécure à ce qu’il porte d’unique et de précieux. Nicolas de Staël encore : « Je ne suis unique que par ce bon que j’arrive à mettre sur la toile avec plus ou moins de contact. » Deux mouvements. Du côté de la thérapie, l’accès sécure d’Antoine à son « bien » propre, à travers ma parole et mon acceptation, accès qui le rend unique reconnaissable à lui-même et donc sujet de lui-même, surgissant en lui-même, éprouvant sa propre vie, vivant donc et apte à la reprise en main d’un destin. Jusqu’au prochain endormissement, à la prochaine confrontation, au prochain oubli et au prochain choc. Du coté thérapeute, la sensation heureuse en tant qu’homme et thérapeute de découvrir une partie de l’autre en même temps qu’une nouvelle part de soi-même, celle-là même capable de cette découverte, chaque part validant l’autre, et le tout en restant conscient de la dissymétrie de la relation, celle de la responsabilité face à un être en souffrance et demande. « J’avance d’accident en accident », disait De Staël. Nécessité pour lui d’une discontinuité créative, hors de la logique. Et ainsi l’acte de peindre comme une transe, un bond hors de soi, en soi, vers soi. L’art de sortir d’une détermination figée et mortifère vers une résolution vivante. Et pour nous spectateurs de ses toiles et nourris de ses mots, la joie de cheminer dans les creux et surgissements, entre parole et expression de la matière picturale, chacun enrichissant l’autre. Du temps pour le plaisir esthétique.
André est amené et soutenu par sa compagne et sa belle-mère. Son geste est ralenti et contraint, ses yeux sont ailleurs, il laisse en ce début de consultation les deux femmes parler.
Pour lire la suite de cet article, cliquez ici
Comment l’hypnose enrichit-elle notre regard sur les toiles et les écrits de Nicolas de Staël ? Comment son approche du réel enrichit-elle à son tour notre approche hypnothérapique ? Je vous propose, à travers mon expérience personnelle ou partagée avec des patients, d’établir un dialogue fécond entre hypnose médicale et l’art du peintre et d’en tirer quelques interrogations subjectives d’ordres thérapeutique, éthique, philosophique voire poétique en vue d’un échange d’expérience.
Aux commencements, Nicolas de Staël naît à Saint-Pétersbourg le 23 décembre 1913 du calendrier julien, et le 5 janvier 1914 du calendrier grégorien. Une date unique viendra fixer le terme de sa vie le 16 mars 1955 quand son corps heurtera le trottoir en contrebas de son atelier d’Antibes d’où il vient de se jeter. Deux temps pour naître, deux espaces culturels, un écart en lui déjà inscrit et un temps arrêté, tache rouge sur l’asphalte. Entre les deux, la vie. Une vie de peinture. Mais revenons à Aix-en-Provence. Ce tableau est là, devant nous, ma compagne et moi-même, 16 cm x 24 cm de peinture : Le soleil, 1953. Des jaunes, des orangés clairs crêmés de blanc. D’autres jaunes plus prononcés, et au-dessous, du bleu déposé dans l’ombre de la nuit. Au-dessus, des aplats de peinture étirés composent le feu naissant d’un jour simple, unique et joyeux. La toile, petite par la taille, nous invite à s’approcher d’elle, à caresser du regard les épaisseurs de sa pâte qui laissent fuiter la lumière à travers interstices et transparences. Notre regard s’absorbe dans les courbes et coulures figées, traces implicites du peintre et du temps écoulé. Présence d’absences.
Ce qui va se passer, sublimé par le partage, est extraordinaire. Alors que nous détachons notre regard du tableau pour nous éloigner tout en jetant un oeil en arrière pour en conserver l’impression, chacun de nous aura la sensation forte et troublante que le soleil s’élève dans la toile ! Oui, réellement. Que l’horizon du sol, matière et frontière incertaine de terre et de ciel, s’enfonce tandis que soleil s’élève. Sensation d’irréalité. La perception d’une mise en route d’un temps, celui du tableau. Un autre temps dans le temps de l’exposition. Temps issu d’une lumière devenue plus claire et éblouissante, temps né de la perception d’un mouvement, comme une vie possible et naissante. Effet « hypn’optique » ?
Thérapeute, c’est par tout ce que nous savons et ce qui nous échappe, par les mots et l’impossible à dire, par tous les « nous » du corps en mouvement et notre trame narrative que nous entrons en relation, que quelque chose se produit. Dans le corps comme dans la rencontre, se laisser glisser, s’y réassocier ou s’associer agréablement dans un dialogue charnel d’où surgit l’inattendu d’une remise en route spontanée des horloges ? Ce temps est recommencements ouverts et porteurs de possibilités jusque-là inenvisagées... Ici le corps du tableau est porte d’entrée dans le vital en lui, pardon : en nous.
Et puis zut, tout cela s’embrouille ! Nous ne pouvons donc, après ce lever de soleil, qu’être happés par cette phrase de De Staël, inscrite dès l’entrée de l’exposition comme une invite : « On ne peint jamais ce que l’on voit, on peint à mille vibrations le coup reçu à recevoir, et comment crier sans colère une tête à la main et une plateforme de l’autre » (lettre à Pierre Lecuire, 3 décembre 1949). Nous voilà subitement conduits au cœur de ses oeuvres, de nous-mêmes, et de nos tableaux cliniques. Ses toiles dans cet écart au réel nous arrachent à nos habitudes, à l’illusion de durer dans le même et nous interdisent de nous confondre avec ce que nous voyons ou croyons de nous-mêmes. Ici, sur la toile tendue, tout bat, bouge et crie, rien ne se pose, la vie n’est qu’instants. De Staël nous arrache à l’illusion de croire que nous voyons le réel du monde. Ses tableaux sont des mots de chair et de matières picturales intimement emmaillées dans le vivant, que le peintre arrache au réel et à son corps en un point de rencontre.
Ils font de nous des voyageurs embarqués dans son monde où comme dans ce lever de soleil, nous vivons, voyons et entendons. Rencontres hypnotiques avec le support pictural. Parti découvrir les lumières d’Italie, il ne peint pas. Il écrit à Jacques Dubourg en septembre 1953 : « Et à part la nage dans toutes les mers, je ne fais rien sinon quelques croquis. » Ne rien faire. Laisser le corps s’étirer, nager, observer, s’imprégner. Puis se laisser aller aux temps des traversées. Du temps laissé à se réassocier, se recombiner, à s’agrandir. Différer donc puis enfin revenir chez soi et peindre dans le temps des fulgurances. Temps des trouvailles et retrouvailles. Laisser s’éprouver la vie en soi, dirait Michel Henry. La toile donc, surface de rencontre et de liberté, interface au monde. « L’espace pictural est un mur mais un mur où tous les oiseaux du monde y volent librement à toute profondeur », dit-il dans une lettre à Pierre Lecuire du 3 décembre 1949. Presque un visage au sens lévinassien. Lieu de profondeur et d’accès aux surgissements. Pour nous thérapeutes, accès à un lieu vivant, de passage, de partage de liberté et d’échange générateur de possibles avec nos patients. Une porte ouverte dans le cadre de la consultation ? Passage incessant de l’enchaînement fixité à l’enchaînement mouvement. Avec ou sans les mots, dans la rencontre et le silence.
Antoine est étudiant, il vient au cabinet depuis l’enfance mais aujourd’hui est un jour différent, il peine à formuler un malaise. Le geste est hésitant, son regard perplexe est habité d’une lumière douce et voilée. Son corps se pose différemment sur la chaise. Il cherche quelque chose. J’ai besoin de temps pour le voir tel qu’il est aujourd’hui, m’ajuster, et découvrir l’adulte qui prend place. Il peine à se mettre au travail et les examens approchent. Il s’isole, repoussant les choses, se sentant en décalage.
Le temps, dans notre face-à-face, passe péniblement, repoussant la rencontre. Ou plus justement la rencontre tarde rendant le temps poussif. Le temps naît-il de la rencontre ? Arrive le moment où je prends conscience que le canevas de mes questions logiques et continues fait blocage. Je fais fausse route. Fausses notes. De Staël : « Dès que je sens une logique trop logique cela m’énerve et je vais naturellement à l’illogisme » (dans une lettre à Douglas Cooper, Antibes, janvier 1955). Je lâche, traversant un léger vertige, puis une détente, enfin une sensation de libération. Instants que j’associe maintenant à ces mots dans cette même lettre adressée à Douglas Cooper : « Trop près ou trop loin du sujet, je ne veux être systématiquement ni l’un ni l’autre… Je ne sais ce qui vaut le mieux et je m’en fous tout compte fait, pourvu que cela s’équilibre comme cela peut, de préférence sans équilibre. Le contact avec la toile, je le perds à chaque instant et le retrouve et le perds. » Je me suis arrêté de parler. Antoine me parle maintenant de tracés particuliers qu’il prend pour répondre aux examens. Chemins qui l’amènent à la solution et sa difficulté à faire accepter sa tournure d’esprit aux autorités universitaires.
Cette non-reconnaissance génère conflits, procrastination, retrait et culpabilité. Lui-même, peu en confiance, est dérouté par ce qui l’habite. Une deuxième rencontre lui permettra d’entrer en transe, de s’ouvrir dans le contact sécure à ce qu’il porte d’unique et de précieux. Nicolas de Staël encore : « Je ne suis unique que par ce bon que j’arrive à mettre sur la toile avec plus ou moins de contact. » Deux mouvements. Du côté de la thérapie, l’accès sécure d’Antoine à son « bien » propre, à travers ma parole et mon acceptation, accès qui le rend unique reconnaissable à lui-même et donc sujet de lui-même, surgissant en lui-même, éprouvant sa propre vie, vivant donc et apte à la reprise en main d’un destin. Jusqu’au prochain endormissement, à la prochaine confrontation, au prochain oubli et au prochain choc. Du coté thérapeute, la sensation heureuse en tant qu’homme et thérapeute de découvrir une partie de l’autre en même temps qu’une nouvelle part de soi-même, celle-là même capable de cette découverte, chaque part validant l’autre, et le tout en restant conscient de la dissymétrie de la relation, celle de la responsabilité face à un être en souffrance et demande. « J’avance d’accident en accident », disait De Staël. Nécessité pour lui d’une discontinuité créative, hors de la logique. Et ainsi l’acte de peindre comme une transe, un bond hors de soi, en soi, vers soi. L’art de sortir d’une détermination figée et mortifère vers une résolution vivante. Et pour nous spectateurs de ses toiles et nourris de ses mots, la joie de cheminer dans les creux et surgissements, entre parole et expression de la matière picturale, chacun enrichissant l’autre. Du temps pour le plaisir esthétique.
André est amené et soutenu par sa compagne et sa belle-mère. Son geste est ralenti et contraint, ses yeux sont ailleurs, il laisse en ce début de consultation les deux femmes parler.
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Dr FRANCK SALZMANN Médecin généraliste à Lattes (Hérault). Formé à l’hypnose à partir de 2012 à l’Institut Hypnosium Gema. DIU d’Hypnose médicale de la faculté de Montpellier-Nîmes en 2017, sous la responsabilité du Docteur Isabelle Nicklès. Membre de L’IMHEM à Montpellier
Revue Hypnose & Thérapies brèves n°59
N°59 : novembre/décembre 2020/janvier 2021
Cinq scripts créatifs détaillés
- Edito : Julien Betbèze
- L’hypersuggestibilité. Au service de l’hyposuggestibilité. Dominique Megglé
- Script créatif détaillé : 20 minutes pour se libérer du tabac. Hypnose en médecine générale. Françoise Barthès
- Script créatif détaillé : Du trauma à la résilience. Par la thérapie du lien et des mondes relationnels. Stéphane Roy
- Script créatif détaillé : La sphère relationnelle. Travailler la distance en hypnose. Corinne Paillette
- Nicolas de Staël : Peindre et se dépeindre. Franck Salzmann
Espace douleur
- Editorial. Gérard Ostermann
- Script créatif détaillé : Travail en hypnose avec des mineurs immigrés. Stéphanie Delacour
- Script créatif détaillé : Hypnose et handicap. Du traumatisme à la créativité. Christelle Lecellier
Dossier : Les soins palliatifs
- Editorial : Francine Hirszowski
- Les TAC en soins palliatifs. Jean Becchio et Sylvain Pourchet
- Psychomotricité. Bouger… je le veux. Patrick Martin
- Les techniques hypnotiques à l’hôpital de Bourg-en-Bresse. Vianney Perrin
- Infirmière en Ehpad. Valérie Etchevers
Rubriques
- Quiproquo… « Prenez soin de vous, Docteur » Stefano Colombo et dessin de Muhuc
- Les champs du possible : Docteur, je tiens à vous dire que je fais le poireau… Adrian Chaboche
- Culture du monde : Jeux de guérison dans le sud de l’Iran. Sylvie Le Pelletier-Beaufond
- Les grands entretiens : Stephen R. Lankton. Gérard Fitoussi
- Livres en bouche
Cinq scripts créatifs détaillés
- Edito : Julien Betbèze
- L’hypersuggestibilité. Au service de l’hyposuggestibilité. Dominique Megglé
- Script créatif détaillé : 20 minutes pour se libérer du tabac. Hypnose en médecine générale. Françoise Barthès
- Script créatif détaillé : Du trauma à la résilience. Par la thérapie du lien et des mondes relationnels. Stéphane Roy
- Script créatif détaillé : La sphère relationnelle. Travailler la distance en hypnose. Corinne Paillette
- Nicolas de Staël : Peindre et se dépeindre. Franck Salzmann
Espace douleur
- Editorial. Gérard Ostermann
- Script créatif détaillé : Travail en hypnose avec des mineurs immigrés. Stéphanie Delacour
- Script créatif détaillé : Hypnose et handicap. Du traumatisme à la créativité. Christelle Lecellier
Dossier : Les soins palliatifs
- Editorial : Francine Hirszowski
- Les TAC en soins palliatifs. Jean Becchio et Sylvain Pourchet
- Psychomotricité. Bouger… je le veux. Patrick Martin
- Les techniques hypnotiques à l’hôpital de Bourg-en-Bresse. Vianney Perrin
- Infirmière en Ehpad. Valérie Etchevers
Rubriques
- Quiproquo… « Prenez soin de vous, Docteur » Stefano Colombo et dessin de Muhuc
- Les champs du possible : Docteur, je tiens à vous dire que je fais le poireau… Adrian Chaboche
- Culture du monde : Jeux de guérison dans le sud de l’Iran. Sylvie Le Pelletier-Beaufond
- Les grands entretiens : Stephen R. Lankton. Gérard Fitoussi
- Livres en bouche