Elle se demandait parfois si tout le monde se posait autant de questions qu’elle ?
Mais il y a, de son avis, des questions qui demandent des réponses tout de même.
Un jour, Madame Buisseau une voisine du quartier- tout en parlant avec sa mère avait « lâché » une expression très étrange ! Et qui, jusqu’à présent n’avait trouvé réponse chez la petite fille. Cela était cependant, pour elle, important.
Sa mère discourait comme toujours avec les dames du quartier mais elle le savait, sa mère entendait ces conversations sans les écouter. Elle ne s’en souvenait jamais, même pas du sujet, alors du comment cela a été dit et du pourquoi. Elle avait arrêté d’espérer des éclaircissements et même de lui poser des questions.
Ce jour là donc, madame Buisseau en tête-à-tête avec sa mère lui tenu des propos étranges :
« Tout de même cette petite (en parlant de la petite fille) elle est un peu mal entre toi qui est on ne peut plus terre à terre et son père avec ses pieds marins toujours entre deux destinations… »
Depuis lors elle se demandait qu’elle fût donc bien son pied marin de son pied terrien ?
Elle passa beaucoup de son temps à les regarder longuement sous différents jours, sous différents angles mais les différences étaient minimes. Elle comptait cinq orteils à gauche et cinq à droite, même au niveau des ongles tout avait l’air d’une ressemblance presque totale. Seule un petit grain de beauté à la base de son troisième orteil gauche différenciait ce pied de l’autre. Mais ce détail ne pouvait pas être à ce point significatif pour pouvoir les classer en terrien ou marin.
Quand elle se mettait sur la pointe de ses pieds son deuxième orteil droit s’agrippait plus au sol que le gauche mais que pouvait-on bien en tirer comme conclusion ?
Elle était aussi agile pour attraper un crayon avec son pied gauche qu’avec son pied droit… Bref rien qui puisse lui donner d’indice probant.
Elle se dit alors que la différence était peut-être perceptible en fonction de l’élément où le pied évoluait.
Elle s’imagina que le pied terrien devait être bien à l’aise en marchant alors que le pied marin devait vite se lasser, que ce même pied devait attendre avec impatience le bain du soir retrouvant ainsi l’élément qui est sien…
Elle fit donc des expériences, elle voulait savoir quel pied elle tenait de sa mère et quel pied de son père.
Mais ses expériences ne furent absolument pas convaincantes !
Quand elle marchait pour se rendre à l’école, elle se disait que le pied marin aurait plus vite mal ou serait plus vite lassé que le pied terrien. Mais elle ne pu en réalité faire la différence.
Lorsqu’elle rentrait dans son bain, elle fit très attention aux sensations de l’eau sur ses pieds mais de même… aucune différence !
Elle fut si déçue !
Elle aurait tant aimé savoir lequel de ses pieds était le terrien et lequel était le marin.
Elle se dit alors que Madame Buisseau aurait peut-être la réponse. Un jour c’est sûr elle le lui demanderait….
Mais il y a, de son avis, des questions qui demandent des réponses tout de même.
Un jour, Madame Buisseau une voisine du quartier- tout en parlant avec sa mère avait « lâché » une expression très étrange ! Et qui, jusqu’à présent n’avait trouvé réponse chez la petite fille. Cela était cependant, pour elle, important.
Sa mère discourait comme toujours avec les dames du quartier mais elle le savait, sa mère entendait ces conversations sans les écouter. Elle ne s’en souvenait jamais, même pas du sujet, alors du comment cela a été dit et du pourquoi. Elle avait arrêté d’espérer des éclaircissements et même de lui poser des questions.
Ce jour là donc, madame Buisseau en tête-à-tête avec sa mère lui tenu des propos étranges :
« Tout de même cette petite (en parlant de la petite fille) elle est un peu mal entre toi qui est on ne peut plus terre à terre et son père avec ses pieds marins toujours entre deux destinations… »
Depuis lors elle se demandait qu’elle fût donc bien son pied marin de son pied terrien ?
Elle passa beaucoup de son temps à les regarder longuement sous différents jours, sous différents angles mais les différences étaient minimes. Elle comptait cinq orteils à gauche et cinq à droite, même au niveau des ongles tout avait l’air d’une ressemblance presque totale. Seule un petit grain de beauté à la base de son troisième orteil gauche différenciait ce pied de l’autre. Mais ce détail ne pouvait pas être à ce point significatif pour pouvoir les classer en terrien ou marin.
Quand elle se mettait sur la pointe de ses pieds son deuxième orteil droit s’agrippait plus au sol que le gauche mais que pouvait-on bien en tirer comme conclusion ?
Elle était aussi agile pour attraper un crayon avec son pied gauche qu’avec son pied droit… Bref rien qui puisse lui donner d’indice probant.
Elle se dit alors que la différence était peut-être perceptible en fonction de l’élément où le pied évoluait.
Elle s’imagina que le pied terrien devait être bien à l’aise en marchant alors que le pied marin devait vite se lasser, que ce même pied devait attendre avec impatience le bain du soir retrouvant ainsi l’élément qui est sien…
Elle fit donc des expériences, elle voulait savoir quel pied elle tenait de sa mère et quel pied de son père.
Mais ses expériences ne furent absolument pas convaincantes !
Quand elle marchait pour se rendre à l’école, elle se disait que le pied marin aurait plus vite mal ou serait plus vite lassé que le pied terrien. Mais elle ne pu en réalité faire la différence.
Lorsqu’elle rentrait dans son bain, elle fit très attention aux sensations de l’eau sur ses pieds mais de même… aucune différence !
Elle fut si déçue !
Elle aurait tant aimé savoir lequel de ses pieds était le terrien et lequel était le marin.
Elle se dit alors que Madame Buisseau aurait peut-être la réponse. Un jour c’est sûr elle le lui demanderait….
Auteur : Véronique LOVENS Sexothérapeute, Sexologue Clinicienne Paris
www.sexologue-sexotherapeute.com
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Illustration : Any KASH