Celui du champ systémique, et il est important de resituer le socle commun des approches systémiques et les différences et convergences des principaux modèles de thérapie brève qui s’inspirent du constructivisme et du constructionnisme social. Les approches systémiques ont ouvert la thérapie sur la force de l’interrelation et l’expérience présente grâce à la logique circulaire. Bien sûr, les autres courants tiennent compte de l’interrelation mais elle n’est pas au coeur du système thérapeutique et à l’origine du changement, même si des auteurs comme Daniel Stern ont insisté sur la place de l’intersubjectivité. Mais au sein des approches systémiques, émerge le courant du constructionnisme social où thérapeute et sujet co-construisent, le temps de leur relation, une réalité différente plus propice au changement, moins lourde que cette fameuse histoire dominante qui pèse sur chacun quand les symptômes deviennent aliénants. Comprendre le cheminement des idées depuis Mesmer et Freud qui aboutit aujourd’hui à la consécration de l’entredeux comme support du changement, un entre-deux de coopération où personne n’a de pouvoir particulier, même si chacun a un rôle spécifique.
C’est une fois intégrés les différents courants d’idées, leurs articulations, leurs points de rapprochement, que l’on peut consacrer du temps à la spécificité de l’approche stratégique (TBS), de l’approche centrée solutions (TOS ou TBCS), de l’approche narrative (TN) et des pratiques conversationnelles. Tout cela est fort logique car beaucoup de pratiques ou de techniques convergent parfaitement dès lors qu’elles participent de la même approche philosophique du soin et donc d’une même idée de l’homme relationnel. Les différentes approches thérapeutiques semblent s’assembler comme des couches successives qui ont une cohérence interne, ce qui permet de passer de l’une à l’autre dès lors que les questions s’harmonisent naturellement, se complètent et s’enrichissent. Pour amener cette compréhension, il faut d’abord décrire les points communs de ces approches thérapeutiques d’inspiration systémique avant d’en décrire les spécificités et leurs intérêts complémentaires.
MOYENS COMMUNS UTILISÉS DANS LES THÉRAPIES BRÈVES SYSTÉMIQUES ET FAMILIALES
Le positionnement thérapeutique : la position basse ou celle du « journaliste d’investigation ». Le génogramme... et sa version solutionniste ou narrative. Le questionnement ouvert, base d’un travail réalisé dans la coopération. La thérapie, grâce aux questions bien posées, a une véritable influence sur les processus de changement sans pour autant faire de suggestions. Le travail sur l’anticipation qui permet la projection dans le futur. L’implicite est que le changement se fera demain dans les aspects les plus concrets de l’existence quelle que soit l’importance du passé et son influence sur le présent. Le questionnement circulaire et/ou indirect pour favoriser l’empathie, la connaissance mutuelle et l’information. Il s’enrichit d’autant que le groupe est important. Les techniques de recadrage qui vont favoriser les changements de niveau logique. L’invitation des absents. La provocation, et l’humour qui va avec, peut-être le propre de certaines approches.
L’externalisation. La connotation positive. La validation des émotions mais aussi des valeurs. L’usage d’un langage indirect... et son rapport au langage hypnotique. Implicite du langage : art du questionnement. L’utilisation de métaphores, d’histoires thérapeutiques. L’utilisation des ressources du patient et de son environnement : les exceptions au problème. L’utilisation de prescriptions de tâches thérapeutiques : observation, comportement, rituel.
ETHIQUE COMMUNE DES THÉRAPIES BRÈVES
Le patient est expert de son problème, c’est lui le connaisseur. Chaque personne a des ressources et des compétences liées à son histoire, à son expérience. Le thérapeute est expert de la relation. Il est maître du cadre. Le thérapeute recherche les points forts, les ressources, les compétences, les exceptions, les relations sources d’enrichissement. Le thérapeute cherche à rentrer dans le monde du patient, à parler son langage. L’orientation vers le futur est centrale. L’objectif est celui du patient ; le thérapeute est là pour l’aider à le préciser.
QUELQUES FACTEURS COMMUNS DES THÉRAPIES BRÈVES
La place du client : savoir reconnaître qu’il est avec son environnement le moteur de tout changement. Rechercher ses réalisations, ses réussites passées, provoquées ou spontanées. L’empathie : savoir reconnaître les attentes du patient en cherchant à comprendre, en se connectant à ses sentiments, ses émotions. C’est aussi percevoir l’ambiguïté des demandes et les contrastes et s’appuyer dessus (l’ambivalence) sans la confondre avec la résistance. La validation : reconnaître les valeurs, émotions, perceptions du patient. Le respect : par son attitude le thérapeute montre qu’il respecte le monde de l’autre et qu’il s’adapte à son rythme, à ses besoins, qu’il tient compte de ses croyances et de ses valeurs. L’authenticité : être vrai et savoir reconnaître ses limites et sa part d’humanité. Mettre en confiance : c’est reconnaître les difficultés en même temps que les possibilités d’un meilleur avenir. Susciter l’espoir.
LES SPÉCIFICITÉS DES THÉRAPIES BRÈVES : CONVERGENCES ET DIFFÉRENCES
La valeur de l’exception. La recherche de l’exception est une constante dans toutes ces approches mais il y a quelques nuances dans les motivations de la recherche et surtout dans l’utilisation. Pourtant, il peut y avoir une réelle complémentarité même si l’objectif diffère quelque peu. Dans les TBS, thérapies brèves stratégiques, on se centre sur les solutions tentées, le problème étant la résultante d’une série de tentatives de solutions ayant le même thème, ce thème étant le cœur même du problème. Pour autant, au milieu de ces tentatives répétitives peut se trouver une exception à l’image de ce qu’Erickson évoque dans la rangée d’arbres tous couchés par le vent... sauf un. L’exception est alors une solution tentée qui ne fait pas problème. Elle n’est pas forcément perçue par le sujet comme un moment d’exception. Le thérapeute par ses questions permet au sujet de la découvrir et la met en exergue pour en développer la portée et l’intérêt.
En hypnose ericksonienne, l’exception est vécue comme l’exception à la règle, uniforme, logique. Elle vient la dérigidifier et crée ainsi l’ouverture. Dans les TOS ou TBCS , thérapies brèves centrées solutions, la recherche d’exceptions est centrale. L’exception est une ressource et met en évidence les compétences de la personne vis-à-vis de ses difficultés. Le questionnement de suite cherchera à amplifier l’exception et à en élargir le contexte de survenue pour que, de proche en proche, cette exception devienne nouvelle règle de fonctionnement. Dans la thérapie narrative, l’exception devient le point de départ d’une histoire alternative qui va relier les unes aux autres les compétences et les talents propres à chacun. Cette histoire alternative vient contredire l’histoire dominante. Simplement, le thérapeute va tisser à partir d’elle une série de questions explorant les « cartes narratives » du « re-membering » et de « l’absent implicite ».
Ainsi cette exception va permettre d’ouvrir, si elle est développée à bon escient, sur une nouvelle identité, une nouvelle image de soi. Le questionnement narratif tâche de donner un sens à cette exception, c’est-à-dire de relier les capacités, les relations, les intentions et les valeurs qui y sont liées. Elle est externalisée et permet une triangulation avec le thérapeute et le sujet. « A quel moment survient-elle ?
Où ?
- Qui est là ? Qui le remarque ? Comment cette personne a réagi à ce moment différent ?
- Qu’observez-vous de différent à ce moment-là ? Que ressentez-vous alors ?
- Qu’est-ce que ça change sur l’idée que vous avez de vous-même et de ce problème ?
- Comment avez-vous réussi à faire cela ce jour-là ?... »
Dans tous les cas, quatre critères vont lui donner toute sa crédibilité :
1. Liberté : l’exception est délibérée. Elle n’est pas utilisable si elle est due au hasard ou aux circonstances. Elle est le fruit d’une décision libre, d’une expérience de vie différente et choisie.
2. Valeur : on en découvre l’importance qu’a posteriori mais elle a d’autant plus de valeur qu’elle correspond à un engagement. Elle suppose une intention et une réflexion.
3. Emotion : elle correspond à un éprouvé. Il convient donc d’en rechercher l’impact émotionnel et corporel.
4. Relation : elle modifie les relations, le regard porté par l’environnement sur la personne et aussi son propre regard, ses actions et ses comportements envers les autres.
L’externalisation est d’utilisation commune puisqu’elle agit comme un différenciateur identitaire. Le sujet n’est pas le problème. Cependant, dans les thérapies narratives elle est détaillée, très vivante. On s’intéressera à l’histoire du problème externalisé : « Quand est-il rentré dans la vie de la personne ?
- Comment cette “addiction” – ou tout autre nom du problème – a affecté votre quotidien, vos relations ? Comment a-t-il fait ?
- Avec quelles ruses ? Quels sont ses alliés – de l’anorexie, par exemple ?
- Comment influence-t-il votre vie ? Quels sont les effets ?
- Comment pouvez-vous justifier son importance, sa place ?
- Etes-vous d’accord avec les conséquences, les effets ? - Comment avez-vous fait pour vous en protéger… ou vous y soumettre ?
- A quel moment réussissez-vous à ne pas collaborer avec ce problème addictif ? » Il s’agit au travers d’une triangulation « thérapeute-sujet-problème externalisé » de favoriser un autre regard sur le problème et d’amener à renforcer l’alliance thérapeute- sujet vis-à-vis de l’addiction ou de ce que le sujet a eu besoin d’externaliser. La circularité. Les approches de type systémique portent l’attention sur l’environnement relationnel.
Les TBS et les TOS vont surtout interroger les interactions dans le présent ou un proche avenir : après le miracle, surtout quand l’exception est récente et reproductible. On met en exergue la spirale vertueuse grâce à la réciprocité des regards, des actions, des sentiments, des pensées de chacun des membres de l’interaction.
C’est une fois intégrés les différents courants d’idées, leurs articulations, leurs points de rapprochement, que l’on peut consacrer du temps à la spécificité de l’approche stratégique (TBS), de l’approche centrée solutions (TOS ou TBCS), de l’approche narrative (TN) et des pratiques conversationnelles. Tout cela est fort logique car beaucoup de pratiques ou de techniques convergent parfaitement dès lors qu’elles participent de la même approche philosophique du soin et donc d’une même idée de l’homme relationnel. Les différentes approches thérapeutiques semblent s’assembler comme des couches successives qui ont une cohérence interne, ce qui permet de passer de l’une à l’autre dès lors que les questions s’harmonisent naturellement, se complètent et s’enrichissent. Pour amener cette compréhension, il faut d’abord décrire les points communs de ces approches thérapeutiques d’inspiration systémique avant d’en décrire les spécificités et leurs intérêts complémentaires.
MOYENS COMMUNS UTILISÉS DANS LES THÉRAPIES BRÈVES SYSTÉMIQUES ET FAMILIALES
Le positionnement thérapeutique : la position basse ou celle du « journaliste d’investigation ». Le génogramme... et sa version solutionniste ou narrative. Le questionnement ouvert, base d’un travail réalisé dans la coopération. La thérapie, grâce aux questions bien posées, a une véritable influence sur les processus de changement sans pour autant faire de suggestions. Le travail sur l’anticipation qui permet la projection dans le futur. L’implicite est que le changement se fera demain dans les aspects les plus concrets de l’existence quelle que soit l’importance du passé et son influence sur le présent. Le questionnement circulaire et/ou indirect pour favoriser l’empathie, la connaissance mutuelle et l’information. Il s’enrichit d’autant que le groupe est important. Les techniques de recadrage qui vont favoriser les changements de niveau logique. L’invitation des absents. La provocation, et l’humour qui va avec, peut-être le propre de certaines approches.
L’externalisation. La connotation positive. La validation des émotions mais aussi des valeurs. L’usage d’un langage indirect... et son rapport au langage hypnotique. Implicite du langage : art du questionnement. L’utilisation de métaphores, d’histoires thérapeutiques. L’utilisation des ressources du patient et de son environnement : les exceptions au problème. L’utilisation de prescriptions de tâches thérapeutiques : observation, comportement, rituel.
ETHIQUE COMMUNE DES THÉRAPIES BRÈVES
Le patient est expert de son problème, c’est lui le connaisseur. Chaque personne a des ressources et des compétences liées à son histoire, à son expérience. Le thérapeute est expert de la relation. Il est maître du cadre. Le thérapeute recherche les points forts, les ressources, les compétences, les exceptions, les relations sources d’enrichissement. Le thérapeute cherche à rentrer dans le monde du patient, à parler son langage. L’orientation vers le futur est centrale. L’objectif est celui du patient ; le thérapeute est là pour l’aider à le préciser.
QUELQUES FACTEURS COMMUNS DES THÉRAPIES BRÈVES
La place du client : savoir reconnaître qu’il est avec son environnement le moteur de tout changement. Rechercher ses réalisations, ses réussites passées, provoquées ou spontanées. L’empathie : savoir reconnaître les attentes du patient en cherchant à comprendre, en se connectant à ses sentiments, ses émotions. C’est aussi percevoir l’ambiguïté des demandes et les contrastes et s’appuyer dessus (l’ambivalence) sans la confondre avec la résistance. La validation : reconnaître les valeurs, émotions, perceptions du patient. Le respect : par son attitude le thérapeute montre qu’il respecte le monde de l’autre et qu’il s’adapte à son rythme, à ses besoins, qu’il tient compte de ses croyances et de ses valeurs. L’authenticité : être vrai et savoir reconnaître ses limites et sa part d’humanité. Mettre en confiance : c’est reconnaître les difficultés en même temps que les possibilités d’un meilleur avenir. Susciter l’espoir.
LES SPÉCIFICITÉS DES THÉRAPIES BRÈVES : CONVERGENCES ET DIFFÉRENCES
La valeur de l’exception. La recherche de l’exception est une constante dans toutes ces approches mais il y a quelques nuances dans les motivations de la recherche et surtout dans l’utilisation. Pourtant, il peut y avoir une réelle complémentarité même si l’objectif diffère quelque peu. Dans les TBS, thérapies brèves stratégiques, on se centre sur les solutions tentées, le problème étant la résultante d’une série de tentatives de solutions ayant le même thème, ce thème étant le cœur même du problème. Pour autant, au milieu de ces tentatives répétitives peut se trouver une exception à l’image de ce qu’Erickson évoque dans la rangée d’arbres tous couchés par le vent... sauf un. L’exception est alors une solution tentée qui ne fait pas problème. Elle n’est pas forcément perçue par le sujet comme un moment d’exception. Le thérapeute par ses questions permet au sujet de la découvrir et la met en exergue pour en développer la portée et l’intérêt.
En hypnose ericksonienne, l’exception est vécue comme l’exception à la règle, uniforme, logique. Elle vient la dérigidifier et crée ainsi l’ouverture. Dans les TOS ou TBCS , thérapies brèves centrées solutions, la recherche d’exceptions est centrale. L’exception est une ressource et met en évidence les compétences de la personne vis-à-vis de ses difficultés. Le questionnement de suite cherchera à amplifier l’exception et à en élargir le contexte de survenue pour que, de proche en proche, cette exception devienne nouvelle règle de fonctionnement. Dans la thérapie narrative, l’exception devient le point de départ d’une histoire alternative qui va relier les unes aux autres les compétences et les talents propres à chacun. Cette histoire alternative vient contredire l’histoire dominante. Simplement, le thérapeute va tisser à partir d’elle une série de questions explorant les « cartes narratives » du « re-membering » et de « l’absent implicite ».
Ainsi cette exception va permettre d’ouvrir, si elle est développée à bon escient, sur une nouvelle identité, une nouvelle image de soi. Le questionnement narratif tâche de donner un sens à cette exception, c’est-à-dire de relier les capacités, les relations, les intentions et les valeurs qui y sont liées. Elle est externalisée et permet une triangulation avec le thérapeute et le sujet. « A quel moment survient-elle ?
Où ?
- Qui est là ? Qui le remarque ? Comment cette personne a réagi à ce moment différent ?
- Qu’observez-vous de différent à ce moment-là ? Que ressentez-vous alors ?
- Qu’est-ce que ça change sur l’idée que vous avez de vous-même et de ce problème ?
- Comment avez-vous réussi à faire cela ce jour-là ?... »
Dans tous les cas, quatre critères vont lui donner toute sa crédibilité :
1. Liberté : l’exception est délibérée. Elle n’est pas utilisable si elle est due au hasard ou aux circonstances. Elle est le fruit d’une décision libre, d’une expérience de vie différente et choisie.
2. Valeur : on en découvre l’importance qu’a posteriori mais elle a d’autant plus de valeur qu’elle correspond à un engagement. Elle suppose une intention et une réflexion.
3. Emotion : elle correspond à un éprouvé. Il convient donc d’en rechercher l’impact émotionnel et corporel.
4. Relation : elle modifie les relations, le regard porté par l’environnement sur la personne et aussi son propre regard, ses actions et ses comportements envers les autres.
L’externalisation est d’utilisation commune puisqu’elle agit comme un différenciateur identitaire. Le sujet n’est pas le problème. Cependant, dans les thérapies narratives elle est détaillée, très vivante. On s’intéressera à l’histoire du problème externalisé : « Quand est-il rentré dans la vie de la personne ?
- Comment cette “addiction” – ou tout autre nom du problème – a affecté votre quotidien, vos relations ? Comment a-t-il fait ?
- Avec quelles ruses ? Quels sont ses alliés – de l’anorexie, par exemple ?
- Comment influence-t-il votre vie ? Quels sont les effets ?
- Comment pouvez-vous justifier son importance, sa place ?
- Etes-vous d’accord avec les conséquences, les effets ? - Comment avez-vous fait pour vous en protéger… ou vous y soumettre ?
- A quel moment réussissez-vous à ne pas collaborer avec ce problème addictif ? » Il s’agit au travers d’une triangulation « thérapeute-sujet-problème externalisé » de favoriser un autre regard sur le problème et d’amener à renforcer l’alliance thérapeute- sujet vis-à-vis de l’addiction ou de ce que le sujet a eu besoin d’externaliser. La circularité. Les approches de type systémique portent l’attention sur l’environnement relationnel.
Les TBS et les TOS vont surtout interroger les interactions dans le présent ou un proche avenir : après le miracle, surtout quand l’exception est récente et reproductible. On met en exergue la spirale vertueuse grâce à la réciprocité des regards, des actions, des sentiments, des pensées de chacun des membres de l’interaction.
Dr Wilfrid MARTINEAU Chef du pôle Psychiatrie et Santé mentale du CHU de Nantes. Formation à l’hypnose, EMDR, TOS Thérapies Brèves Orientées Solution, thérapie narrative et thérapie stratégique. Expérience de l’urgence et des situations de crise et du psychotraumatisme. Exercice actuel en psychiatrie de secteur (CMP et unités d’hospitalisation). Formateur au sein de l’AREPTA-Institut Milton Erickson de Nantes. Coordonnateur du DU Hypnose et Communication thérapeutique de la faculté de Médecine de Nantes.
Revue Hypnose & Thérapies brèves n°57 version Papier
Achat du numéro 57 de la revue Hypnose & Thérapies Brèves en version papier
Prix TTC, frais de livraison compris pour la France métropolitaine.
Les frais de port seront ajustés automatiquement au cours de la commande pour tout achat hors France métropolitaine.
Lorsque la Version papier de ce numéro sera épuisée, la version PDF sera fournie à la place
N°57 Mai/Juin/Juillet 2020
- ÉDITORIAL : « Trouver une certaine sacralité de l’autre, humain et non-humain. » Aurélien Barrau. S. COHEN
- LA « BROSSOSPHÈRE ». G. BROSSEAU et A. FORTIN
- THÉRAPIES BRÈVES. W. MARTINEAU
- QI GONG ET HYPNOSE M. SÉJOURNÉ
- MÉDITATION ET HYPNOSE O. DE PALÉZIEUX
ESPACE : DOULEUR DOUCEUR
- Éditorial. H. BENSOUSSAN
- Adolescent mutique. S. COPEAU
- La lévitation en douleur chronique. A. BOUZINAC
DOSSIER : SE SENTIR VIDE
- Éditorial. D. VERGRIETE
- Vide, phobie et transe ordinaire J. BETBÈZE
- Creuser le vide S. LE PELLETIER-BEAUFOND
- Les vides. D. MEGGLÉ
- Vide et addictions. D. VERGRIETE
- QUI PROQUO, MALENTENDU ET. . .« Tout a une fin ! » S. COLOMBO, MUHUC
- Couvade en pays Dendi. C. LELOUTRE-GUIBERT
- Les Grands Entretiens: Elvira Lang. G. FITOUSSI
Livres en Bouche: H. BENSOUSSAN, C. GUILLOUX, L. BILLY, S. COHEN
Achat du numéro 57 de la revue Hypnose & Thérapies Brèves en version papier
Prix TTC, frais de livraison compris pour la France métropolitaine.
Les frais de port seront ajustés automatiquement au cours de la commande pour tout achat hors France métropolitaine.
Lorsque la Version papier de ce numéro sera épuisée, la version PDF sera fournie à la place
N°57 Mai/Juin/Juillet 2020
- ÉDITORIAL : « Trouver une certaine sacralité de l’autre, humain et non-humain. » Aurélien Barrau. S. COHEN
- LA « BROSSOSPHÈRE ». G. BROSSEAU et A. FORTIN
- THÉRAPIES BRÈVES. W. MARTINEAU
- QI GONG ET HYPNOSE M. SÉJOURNÉ
- MÉDITATION ET HYPNOSE O. DE PALÉZIEUX
ESPACE : DOULEUR DOUCEUR
- Éditorial. H. BENSOUSSAN
- Adolescent mutique. S. COPEAU
- La lévitation en douleur chronique. A. BOUZINAC
DOSSIER : SE SENTIR VIDE
- Éditorial. D. VERGRIETE
- Vide, phobie et transe ordinaire J. BETBÈZE
- Creuser le vide S. LE PELLETIER-BEAUFOND
- Les vides. D. MEGGLÉ
- Vide et addictions. D. VERGRIETE
- QUI PROQUO, MALENTENDU ET. . .« Tout a une fin ! » S. COLOMBO, MUHUC
- Couvade en pays Dendi. C. LELOUTRE-GUIBERT
- Les Grands Entretiens: Elvira Lang. G. FITOUSSI
Livres en Bouche: H. BENSOUSSAN, C. GUILLOUX, L. BILLY, S. COHEN