Qu’est-ce qui détermine la valeur de nos compétences professionnelles ?
Comment un consultant ou un manager accroît sa valeur ajoutée ?
Que mesurent les entreprises avant de recruter un professionnel ?
Compte tenu de l’expérience outre-atlantique, il est plus que probable que les compétences émotionnelles vont faire parti des compétences clés. Si les recherches se confirment et que l’intelligence émotionnelle est effectivement plus importante que les compétences techniques et métier, les revenus des professionnels seront de plus en plus associés au quotient émotionnel.
Ceci étant, toutes les entreprises ne changeront pas immédiatement leur mode de recrutement et leur politique de salaire, car, comme l’a dit Albert Einstein, "Il est plus difficile de désagréger un préjugé qu'un atome.". Néanmoins, les avant-gardistes prendront en compte ces critères dans un premier temps et les autres rejoindront.
A même niveau d’étude, ce qui concrétisera la valeur ajoutée d’un professionnel sera son capital émotionnel. Comme tout professionnel, il sera amené à vivre des situations de conflit. Ceux qui auront le mieux réalisé leur potentiel émotionnel sauront les résoudre ou les anticiper avec fluidité. La semaine dernière, un responsable d’une équipe d’acheteurs disait que les deux prédécesseurs n’avaient pu tenir plus de six et huit mois dans ce poste.
Elle y est resté 3 années et souhaite aujourd’hui prendre d’autres responsabilités au sein de l’entreprise. Ses compétences émotionnelles ont fait la différence.
Outre l’éducation familiale, ces qualités peuvent se développer chez chacun mais demande un minimum d’effort. Les sept années de pratique pédagogique montrent que les trois conditions pour acquérir ces compétences sont : une forte motivation, un entraînement dans la durée et la construction d’un réseau professionnel.
Etre motivé pour nous libérer des systèmes de croyances inadaptés. S’entraîner pour acquérir de nouveaux « réflexes comportementaux ». Et enfin, s’appuyer sur un réseau pour partager et s’enrichir des expériences des autres. A la question « est-ce que ce training se fait en individuel ou en groupe ? » je dirais qu’il est préférable de démarrer en individuel mais que l’expérience a montré que les deux fonctionnent.
Gilles Corcos.
Spécialiste en Intelligence Emotionnelle Paris
Comment un consultant ou un manager accroît sa valeur ajoutée ?
Que mesurent les entreprises avant de recruter un professionnel ?
Compte tenu de l’expérience outre-atlantique, il est plus que probable que les compétences émotionnelles vont faire parti des compétences clés. Si les recherches se confirment et que l’intelligence émotionnelle est effectivement plus importante que les compétences techniques et métier, les revenus des professionnels seront de plus en plus associés au quotient émotionnel.
Ceci étant, toutes les entreprises ne changeront pas immédiatement leur mode de recrutement et leur politique de salaire, car, comme l’a dit Albert Einstein, "Il est plus difficile de désagréger un préjugé qu'un atome.". Néanmoins, les avant-gardistes prendront en compte ces critères dans un premier temps et les autres rejoindront.
A même niveau d’étude, ce qui concrétisera la valeur ajoutée d’un professionnel sera son capital émotionnel. Comme tout professionnel, il sera amené à vivre des situations de conflit. Ceux qui auront le mieux réalisé leur potentiel émotionnel sauront les résoudre ou les anticiper avec fluidité. La semaine dernière, un responsable d’une équipe d’acheteurs disait que les deux prédécesseurs n’avaient pu tenir plus de six et huit mois dans ce poste.
Elle y est resté 3 années et souhaite aujourd’hui prendre d’autres responsabilités au sein de l’entreprise. Ses compétences émotionnelles ont fait la différence.
Outre l’éducation familiale, ces qualités peuvent se développer chez chacun mais demande un minimum d’effort. Les sept années de pratique pédagogique montrent que les trois conditions pour acquérir ces compétences sont : une forte motivation, un entraînement dans la durée et la construction d’un réseau professionnel.
Etre motivé pour nous libérer des systèmes de croyances inadaptés. S’entraîner pour acquérir de nouveaux « réflexes comportementaux ». Et enfin, s’appuyer sur un réseau pour partager et s’enrichir des expériences des autres. A la question « est-ce que ce training se fait en individuel ou en groupe ? » je dirais qu’il est préférable de démarrer en individuel mais que l’expérience a montré que les deux fonctionnent.
Gilles Corcos.
Spécialiste en Intelligence Emotionnelle Paris