En sortant du Congrès Mondial d’Hypnose, je me réjouis de savoir que nous sommes si nombreux à avoir envie d’échanger sur notre pratique de l’hypnose. Si nous pouvons considérablement apprendre au sein de la communauté des praticiens de l’hypnose, il me semble toutefois intéressant de continuer à nourrir notre pratique par des échanges interdisciplinaires. Dans le cadre de ma thèse de médecine sur l’hypnose thérapeutique en psychiatrie, je me suis interrogée sur les particularités de l’hypnose médicale. J’ai étudié la littérature scientifique, les écrits d’hypnothérapeutes, et cherché, à partir de cas cliniques, à décrire et à analyser une séance d’hypnose. Il m’est ainsi apparu que l’état, dit hypnotique, ne serait peut être pas spécifique à cette pratique. En effet, la particularité de l’hypnose pourrait reposer plutôt sur le processus hypnotique - la manière d’entrer dans cet état et de l’utiliser - plutôt que sur les caractéristiques même de cet état. La différence, par exemple, entre les états hypnotique et méditatif pose encore question à ce jour.
Il m’a semblé de ce fait indispensable, pour mieux comprendre ma pratique, d’aller à la rencontre de spécialistes d’autres disciplines qui favorisent et utilisent à leur manière cet état que je nommerais« l’état de disponibilité ». Comment mieux définir et enrichir l’hypnose qu’en la confrontant directement à des pratiques voisines ? De très nombreuses disciplines pourraient ainsi apporter un autre point de vue sur l’hypnose. Pour choisir parmi
elles, je me suis d’abord appuyée sur les facettes de l’hypnose que je souhaitais explorer : sa dimension corporelle et ses liens avec la créativité. Mes goûts personnels ont bien sûr également joué un rôle en orientant mon choix vers des disciplines qui m’animent : la danse et le cirque contemporain.
Comment se mettre en relation avec quelqu’un d’un autre domaine, avec lequel nous n’avons au départ aucun lien ? Aller simplement à sa rencontre. Aller à la rencontre d’un artiste, à l’issu d’un spectacle, car sa présence corporelle m’a touché, pour lui parler de ma recherche et lui proposer d’en discuter. Les mots me semblent parfois imprécis pour décrire l’intérêt que pourrait avoir un tel échange car il s’agit avant tout d’une intuition. Mais
c’est surtout l’enthousiasme provoqué par cette envie qui peut convaincre. Il s’agit donc avant tout d’oser. Oser se fier à son intuition. Oser inviter à un échange.
Le partage se fait d’abord verbalement. Je décris ma pratique de l’hypnose et nous cherchons en quoi ils connaissent déjà cet état, comment ils le favorisent et l’utilisent. Nous devons préciser la signification des mots que nous employons, créer un langage commun, car les bases sur lesquelles
nous nous appuyons diffèrent. Cette étape permet déjà, par comparaison, de préciser considérablement nos pratiques respectives. Je leur propose ensuite de faire l’expérience de l’hypnose, en orientant la séance selon leurs recherches actuelles. Au décours de cette séance ils m’apportent un
nouvel éclairage en me décrivant leur perception de cette expérience. Ce sont eux qui me proposent ensuite d’entrer dans cet état de disponibilité selon leurs propres chemins. Un chorégraphe m’a invité, par exemple, à participer à l’un de ses laboratoires de création pendant lequel l’une des portes d’entrée vers la transe était la lenteur des mouvements.
L’échange individuel a ainsi évolué vers des groupes de partage au sein desquels des praticiens de diverses disciplines peuvent croiser leurs points
de vue. Ces échanges nourrissent considérablement tant mon approche clinique que mon approche théorique de l’hypnose. Ils m’ont ainsi permis de réaliser l’impact majeur qu’un travail corporel pouvait m’apporter en tant qu’hypnothérapeute. J’ai pu par exemple découvrir d’autres techniques (Alexander et Feldenkrais) que je pratique maintenant pour développer maconscience corporelle. Je me sens ainsi de plus en plus libre pour introduire du mouvement en hypnothérapie. Nous avons notamment créé un atelier thérapeutique « hypnose en mouvement » pour des patients dépendants, en sevrage à l’hôpital Marmottan, qui s’est avéré utile pour nombre d’entre eux.
L’échange avec le domaine des arts vivants n’est qu’un exemple de la richesse que peut avoir le partage avec d’autres disciplines. Notre pratique suscite actuellement beaucoup d’intérêt et de curiosité… Profitons-en pour inviter de nouveaux regards à se porter sur l’hypnose !
Il m’a semblé de ce fait indispensable, pour mieux comprendre ma pratique, d’aller à la rencontre de spécialistes d’autres disciplines qui favorisent et utilisent à leur manière cet état que je nommerais« l’état de disponibilité ». Comment mieux définir et enrichir l’hypnose qu’en la confrontant directement à des pratiques voisines ? De très nombreuses disciplines pourraient ainsi apporter un autre point de vue sur l’hypnose. Pour choisir parmi
elles, je me suis d’abord appuyée sur les facettes de l’hypnose que je souhaitais explorer : sa dimension corporelle et ses liens avec la créativité. Mes goûts personnels ont bien sûr également joué un rôle en orientant mon choix vers des disciplines qui m’animent : la danse et le cirque contemporain.
Comment se mettre en relation avec quelqu’un d’un autre domaine, avec lequel nous n’avons au départ aucun lien ? Aller simplement à sa rencontre. Aller à la rencontre d’un artiste, à l’issu d’un spectacle, car sa présence corporelle m’a touché, pour lui parler de ma recherche et lui proposer d’en discuter. Les mots me semblent parfois imprécis pour décrire l’intérêt que pourrait avoir un tel échange car il s’agit avant tout d’une intuition. Mais
c’est surtout l’enthousiasme provoqué par cette envie qui peut convaincre. Il s’agit donc avant tout d’oser. Oser se fier à son intuition. Oser inviter à un échange.
Le partage se fait d’abord verbalement. Je décris ma pratique de l’hypnose et nous cherchons en quoi ils connaissent déjà cet état, comment ils le favorisent et l’utilisent. Nous devons préciser la signification des mots que nous employons, créer un langage commun, car les bases sur lesquelles
nous nous appuyons diffèrent. Cette étape permet déjà, par comparaison, de préciser considérablement nos pratiques respectives. Je leur propose ensuite de faire l’expérience de l’hypnose, en orientant la séance selon leurs recherches actuelles. Au décours de cette séance ils m’apportent un
nouvel éclairage en me décrivant leur perception de cette expérience. Ce sont eux qui me proposent ensuite d’entrer dans cet état de disponibilité selon leurs propres chemins. Un chorégraphe m’a invité, par exemple, à participer à l’un de ses laboratoires de création pendant lequel l’une des portes d’entrée vers la transe était la lenteur des mouvements.
L’échange individuel a ainsi évolué vers des groupes de partage au sein desquels des praticiens de diverses disciplines peuvent croiser leurs points
de vue. Ces échanges nourrissent considérablement tant mon approche clinique que mon approche théorique de l’hypnose. Ils m’ont ainsi permis de réaliser l’impact majeur qu’un travail corporel pouvait m’apporter en tant qu’hypnothérapeute. J’ai pu par exemple découvrir d’autres techniques (Alexander et Feldenkrais) que je pratique maintenant pour développer maconscience corporelle. Je me sens ainsi de plus en plus libre pour introduire du mouvement en hypnothérapie. Nous avons notamment créé un atelier thérapeutique « hypnose en mouvement » pour des patients dépendants, en sevrage à l’hôpital Marmottan, qui s’est avéré utile pour nombre d’entre eux.
L’échange avec le domaine des arts vivants n’est qu’un exemple de la richesse que peut avoir le partage avec d’autres disciplines. Notre pratique suscite actuellement beaucoup d’intérêt et de curiosité… Profitons-en pour inviter de nouveaux regards à se porter sur l’hypnose !
Edito du Dr Thierry Servillat. Historique !
Le congrès de Paris a été historique, c’est évident ! Déjà pour les praticiens français bien sûr, qui ont pu de nouveau vivre la joie de voir chez eux, quelques jours après un rapport INSERM favorable à leurs pratiques susciter une affluence record (c’est la première fois qu’un congrès d’hypnose mobilise plus de 2500 participants) et un retentissement médiatique considérable (et dans la très grande majorité des cas favorable lui aussi).
Le congrès de Paris a été historique, c’est évident ! Déjà pour les praticiens français bien sûr, qui ont pu de nouveau vivre la joie de voir chez eux, quelques jours après un rapport INSERM favorable à leurs pratiques susciter une affluence record (c’est la première fois qu’un congrès d’hypnose mobilise plus de 2500 participants) et un retentissement médiatique considérable (et dans la très grande majorité des cas favorable lui aussi).
Les âges clandestins. Un réservoir de ressources. Dr Bruno Dubos
L’utilisation de la notion d’« âge clandestin » est devenue, en tout cas en France, un grand « classique » de l’hypnothérapie. Il était donc nécessaire qu’un de ses praticiens expérimentés en précise la pratique. Vive l’hypno-systémique ! J’ai rencontré les âges clandestins il y a quelques années, de façon fortuite, à la plage, assis sur le sable.
L’utilisation de la notion d’« âge clandestin » est devenue, en tout cas en France, un grand « classique » de l’hypnothérapie. Il était donc nécessaire qu’un de ses praticiens expérimentés en précise la pratique. Vive l’hypno-systémique ! J’ai rencontré les âges clandestins il y a quelques années, de façon fortuite, à la plage, assis sur le sable.
La consultation hypnotique. Hypnose en médecine générale
Par les Drs Morgan GODARD et Idrissa NDIAYE
Deux jeunes médecins généralistes récapitulent, sous la forme d’un monologue adressé à un patient, la place que l’hypnose a prise dans leur pratique quotidienne. Tiens, Michel, je vois ton nom sur le planning. Nous avons rendez-vous tout à l’heure. Je suis ton médecin depuis plusieurs années. On se fait confiance... J’ai une faveur à te demander : j’aimerais que tu m’aides à parler de quelque chose qui a germé dans ma tête depuis quelque temps.
Par les Drs Morgan GODARD et Idrissa NDIAYE
Deux jeunes médecins généralistes récapitulent, sous la forme d’un monologue adressé à un patient, la place que l’hypnose a prise dans leur pratique quotidienne. Tiens, Michel, je vois ton nom sur le planning. Nous avons rendez-vous tout à l’heure. Je suis ton médecin depuis plusieurs années. On se fait confiance... J’ai une faveur à te demander : j’aimerais que tu m’aides à parler de quelque chose qui a germé dans ma tête depuis quelque temps.
Accroître la résilience. Dialogue entre hypnose et psychlogie positive. Pascale Haag
Le monde de l’hypnose commence depuis quelques années à s’intéresser à la psychologie positive. Lors d’une intervention remarquée lors du congrès de Paris, Pascal Haag a montré comment, pourtant, ces deux approches peuvent se fertiliser mutuellement. Comparée à l’hypnose, dont on peut faire remonter l’histoire au XVIIIe siècle en Europe, la psychologie positive, née deux siècles plus tard de l’autre côté de l’océan Atlantique, est encore presque une enfant.
Le monde de l’hypnose commence depuis quelques années à s’intéresser à la psychologie positive. Lors d’une intervention remarquée lors du congrès de Paris, Pascal Haag a montré comment, pourtant, ces deux approches peuvent se fertiliser mutuellement. Comparée à l’hypnose, dont on peut faire remonter l’histoire au XVIIIe siècle en Europe, la psychologie positive, née deux siècles plus tard de l’autre côté de l’océan Atlantique, est encore presque une enfant.
L’hypnose et les tics. Un nouvelle proposition d’approche. Constance Flamand-Roze
Pathologies socialement très handicapantes, les tics laissent bon nombre de praticiens très démunis. Comme dans beaucoup de ces troubles dits « fonctionnels », l’hypnose pourrait-elle, au moins, apporter un complément thérapeutique précieux ? L’histoire d’Alexis. Alexis a 12 ans ; il a de bonnes notes au collège, et c’est un jeune garçon plutôt inhibé. Il est apprécié des professeurs pour son calme et sa discipline.
Pathologies socialement très handicapantes, les tics laissent bon nombre de praticiens très démunis. Comme dans beaucoup de ces troubles dits « fonctionnels », l’hypnose pourrait-elle, au moins, apporter un complément thérapeutique précieux ? L’histoire d’Alexis. Alexis a 12 ans ; il a de bonnes notes au collège, et c’est un jeune garçon plutôt inhibé. Il est apprécié des professeurs pour son calme et sa discipline.
L’hypnose au Maroc. Rituels anciens et pratique moderne
Par Myriam NCIRI, article écrit avec le concours d'S.Housbane, M.Bennani Othmani et Z.Serhier, du Laboratoire d’informatique médicale, Faculté de Médecine et de Pharmacie de Casablanca (Maroc). Le Congrès de Paris a été l’occasion d’échanges interculturels intenses, et de travaux pour les susciter. La présentation de Myriam Nciri et de son équipe a été parmi les contributions les plus remarquées. Dans le cadre du 20ème congrès international d’hypnose sur le thème « Hypnose, Racines et Futur de la conscience »,
nous nous sommes interrogés sur la place de l’hypnose dans la pratique médicale marocaine.
Par Myriam NCIRI, article écrit avec le concours d'S.Housbane, M.Bennani Othmani et Z.Serhier, du Laboratoire d’informatique médicale, Faculté de Médecine et de Pharmacie de Casablanca (Maroc). Le Congrès de Paris a été l’occasion d’échanges interculturels intenses, et de travaux pour les susciter. La présentation de Myriam Nciri et de son équipe a été parmi les contributions les plus remarquées. Dans le cadre du 20ème congrès international d’hypnose sur le thème « Hypnose, Racines et Futur de la conscience »,
nous nous sommes interrogés sur la place de l’hypnose dans la pratique médicale marocaine.
Pourquoi la musique ? Dr Thierry Servillat
Après avoir abordé des sujets aussi différents que Socrate et la corrida, Francis Wolff, professeur de philosophie à l’Ecole Normale Supérieure - la fameuse Normale Sup - publie un livre sur un sujet qui lui tient très à coeur et qu’il étudie depuis des années : la musique. En posant une question qui peut paraître incongrue : pourquoi la musique ? Comme il se trouve que le monde de l’hypnose thérapeutique s’intéresse de plus en plus, après avoir privilégié l’intérêt pour le visuel, au sonore, à l’auditif, à la musique donc, ainsi qu’à la danse bien sûr, il paraît opportun de s’intéresser à cette somme de plus de 400 pages, denses mais claires, et surtout magistrales dans le bon sens du terme.
Après avoir abordé des sujets aussi différents que Socrate et la corrida, Francis Wolff, professeur de philosophie à l’Ecole Normale Supérieure - la fameuse Normale Sup - publie un livre sur un sujet qui lui tient très à coeur et qu’il étudie depuis des années : la musique. En posant une question qui peut paraître incongrue : pourquoi la musique ? Comme il se trouve que le monde de l’hypnose thérapeutique s’intéresse de plus en plus, après avoir privilégié l’intérêt pour le visuel, au sonore, à l’auditif, à la musique donc, ainsi qu’à la danse bien sûr, il paraît opportun de s’intéresser à cette somme de plus de 400 pages, denses mais claires, et surtout magistrales dans le bon sens du terme.
« Corrigez-moi si je me trompe ! » Quiproquo , malentendu et incommunicbilité. Dr Stefano Colombo
L’autre jour, j’allais en ville pour m’acheter… rien du tout. Je vagabondais dans les rues commerçantes. Mieux dit, dans les rues où il y a des commerces. Avez-vous déjà vu une rue qui commerce ?« Alors ? Tu l’achètes cette poubelle ou quoi ? Allez, je te fais un prix, qu’estce que tu proposes ? » Et le piéton, courbé en avant, les yeux rivés sur la bouche d’égout qui vient de lui parler, de répondre : « Mais je ne veux pas de poubelle, laisse-moi tranquille.
L’autre jour, j’allais en ville pour m’acheter… rien du tout. Je vagabondais dans les rues commerçantes. Mieux dit, dans les rues où il y a des commerces. Avez-vous déjà vu une rue qui commerce ?« Alors ? Tu l’achètes cette poubelle ou quoi ? Allez, je te fais un prix, qu’estce que tu proposes ? » Et le piéton, courbé en avant, les yeux rivés sur la bouche d’égout qui vient de lui parler, de répondre : « Mais je ne veux pas de poubelle, laisse-moi tranquille.
Une nouvelle définition internationale de l’hypnose ? Antoine Bioy
L’hypnose est en plein développement dans les pays hispaniques, avec d’intéressantes études portant, notamment pour l’Espagne, sur le travail de la suggestion, mais aussi autour des représentations de l’hypnose et ses incidences dans le domaine de la pratique clinique (Capafons et al, 2015). Plus habituelles, des recherches sur les effets de la méthode existent, comme celle, mexicaine, sur l’évaluation des effets de l’hypnothérapie sur la qualité de sommeil des patientes atteintes d’un cancer du sein.
L’hypnose est en plein développement dans les pays hispaniques, avec d’intéressantes études portant, notamment pour l’Espagne, sur le travail de la suggestion, mais aussi autour des représentations de l’hypnose et ses incidences dans le domaine de la pratique clinique (Capafons et al, 2015). Plus habituelles, des recherches sur les effets de la méthode existent, comme celle, mexicaine, sur l’évaluation des effets de l’hypnothérapie sur la qualité de sommeil des patientes atteintes d’un cancer du sein.
Phénoménologie en soins palliatifs. Dr Guillaume Belouriez
Dans le monde du soin, l’hypnose a regagné sa légitimité par son efficience et son utilisation comme « technique ». Il semble néanmoins nécessaire de replacer ce que l’on appelle « hypnose » comme une approche naturelle, physiologique, relationnelle, et même existentielle. L’hypnose et les soins palliatifs partagent un objectif commun: l’accompagnement. Rejoindre la personne là où elle se trouve pour l’accompagner dans la direction qu’elle souhaite.
Dans le monde du soin, l’hypnose a regagné sa légitimité par son efficience et son utilisation comme « technique ». Il semble néanmoins nécessaire de replacer ce que l’on appelle « hypnose » comme une approche naturelle, physiologique, relationnelle, et même existentielle. L’hypnose et les soins palliatifs partagent un objectif commun: l’accompagnement. Rejoindre la personne là où elle se trouve pour l’accompagner dans la direction qu’elle souhaite.
Invitation aux échanges. Dr Dina Roberts
En sortant du Congrès Mondial d’Hypnose, je me réjouis de savoir que nous sommes si nombreux à avoir envie d’échanger sur notre pratique de l’hypnose. Si nous pouvons considérablement apprendre au sein de la communauté des praticiens de l’hypnose, il me semble toutefois intéressant de continuer à nourrir notre pratique par des échanges interdisciplinaires. Dans le cadre de ma thèse de médecine sur l’hypnose thérapeutique en psychiatrie, je me suis interrogée sur les particularités de l’hypnose médicale.
En sortant du Congrès Mondial d’Hypnose, je me réjouis de savoir que nous sommes si nombreux à avoir envie d’échanger sur notre pratique de l’hypnose. Si nous pouvons considérablement apprendre au sein de la communauté des praticiens de l’hypnose, il me semble toutefois intéressant de continuer à nourrir notre pratique par des échanges interdisciplinaires. Dans le cadre de ma thèse de médecine sur l’hypnose thérapeutique en psychiatrie, je me suis interrogée sur les particularités de l’hypnose médicale.
Comme tous les 2 ans, le Congrès Hypnose & Douleur, organisé par Emergences Rennes, ouvrira ses portes du 5 au 7 Mai 2016 à St Malo.
L'occasion d'y retrouver bon nombre de professionnels de l'hypnose du monde entier...
L'occasion d'y retrouver bon nombre de professionnels de l'hypnose du monde entier...