Récit d’une séance de thérapie narrative : carte de l’externalisation... Madame G.L. vient en consultation pour la quatrième fois, la relation de confiance est installée. Elle est souriante et s’assoit confortablement sur la chaise que je lui propose...
Madame G.L. est venue consulter initialement suite à un conflit conjugal. Son histoire est marquée par une séparation parentale quand elle avait 5 ans, plusieurs ruptures sentimentales et un antécédent médical de rectocolite hémorragique difficile à vivre. D’emblée, elle me confie qu’elle présente une grosse problématique : le mensonge.
- Patiente : « Docteur, c’est infernal, je ne supporte pas le mensonge et pourtant je n’arrête pas de mentir.
- Thérapeute : Vous ne supportez pas le mensonge et pourtant vous me dites “je n’arrête pas de mentir”, c’est bien ça ? (Reformulation avec le “Je”.)
- P. : Tout à fait, c’est incompréhensible. Je suis une menteuse qui a horreur du mensonge et je ne me supporte plus.
- Th. : Quand vous vous dites : “je suis une menteuse qui a horreur du mensonge et je ne me supporte plus”, pouvez-vous me dire ce que ça vous fait ?
- P. : Ça me fait peur, Docteur, le mensonge me fait peur.
- Th. : Est-ce que ça revient à dire que vous auriez besoin de sécurité ?
- P. : Oui, tout à fait, besoin de sécurité. Ça me renvoie à mon enfance lorsque ma mère me punissait quand j’avais menti. Elle martelait une phrase : “à force de mentir, tu finiras comme dans l’histoire de Gare au loup, on ne te croira plus jamais !”.
- Th. : Et quand vous revoyez cette scène, que voyez-vous ?
- P. : Une petite fille pleine d’énergie qui n’est pas comprise.
- Th. : Hum ! Une petite fille pleine d’énergie qui n’est pas comprise (reformulation simple, je marque un silence)... et ça vous rend triste ou en colère ?
- P. : Plutôt triste, oui ça me rend triste.
- Th. : Et qu’est-ce qu’elle vous dit cette tristesse ?
- P. : Elle me dit que je suis diabolisée et que ce n’est pas juste.
- Th. : Ce n’est pas juste. (Silence.)
- P. : Oui, ce n’est pas juste. (Silence.)
- Th. : Est-ce que ça vous met en colère ?
- P. : Oui.
- Th. : Donc vous êtes à la fois triste et en colère ?
- P. : Oui.
- Th. : Et où se logent-elles cette tristesse et cette colère ? (Je montre le corps de la main.)
- P. :Dans mon ventre, là. (Elle m’indique la zone péri-ombilicale avec sa main.)
- Th. : Là ! (Je montre la même zone sur mon ventre avec ma main... hochement de tête.) Et c’est plutôt agréable ou désagréable ?
- P. : C’est un gros poids très pesant.
- Th. : Et si on mettait ce gros poids très pesant là, quelle forme prendrait-il ? (Je montre l’espace entre nous deux avec mes mains ouvertes vers le haut... Silence.)
- P. : Une forme ? Je ne sais pas. (Rires…)
- Th. : Oui, c’est un peu bizarre comme question. Quelle forme pourrait prendre ce poids qui se loge dans votre ventre ? (Je reproduis le geste en indiquant l’espace qui nous sépare... Silence.)
- P. : Ce serait un ectoplasme.
- Th. : Un ectoplasme ?
- P. : Oui, un ectoplasme tout dégoulinant qui s’infiltre dans la terre. (Gestes des bras et mains qui miment la forme s’étalant dans l’espace entre nous deux et qui se terminent par un “splash !”... Rires...)
- Th. : Splash ! (Je reproduis les gestes en regardant l’espace entre nous... Sourires partagés.) De quoi aurait-il besoin pour être moins pesant ?
- P. : D’amour.
- Th. : Vous pouvez préciser ?
- P. : Il aurait besoin d’amour avec écoute, sécurité.
- Th. : Hum... autre chose ?
- P. : Des bras puissants qui me soutiennent et que je sais qu’ils seront toujours là. (Gestes d’enlacement.)
- Th. : Donc cet ectoplasme aurait besoin pour être moins pesant d’amour avec écoute, sécurité et des bras qui, m’avez vous dit, “me soutiennent et que je sais qu’ils seront toujours là”. (Je reproduis le geste d’enlacement.)
- P. : Oui (avec un grand sourire).
- Th. : Et que deviendrait l’ectoplasme avec tout ça ? (Je regarde l’emplacement de l’ectoplasme.)
- P. : Une boule dure pleine d’énergie.
- Th. : De quelle couleur ?
- P. : Rouge-rose, elle vibre. (Regard vers l’emplacement.)
- Th. :Une boule rouge-rose dure, pleine d’énergie et qui vibre.
- P. : Oui (regards vers la boule imaginaire).
- Th. : Et qu’est-ce qu’elle permet cette boule vibrante ?
- P. : Elle permet de reprendre de l’énergie.
- Th. : Hum... et cette énergie permet quoi ?
- P. :De donner de l’amour à la petite fille.
- Th. : Hum... et cet amour permet ?
- P. : Il permet à la petite fille de rayonner (rires).
- Th. : Et qui ne serait pas étonné de voir la petite fille rayonner ?
- P. : Hum... mon chat... oui, mon chat qui partage toutes mes joies.
- Th. : Comment vous le fait-il savoir ?
- P. : En se calant sur mes genoux avec son ronron.
- Th. : Et ça vous fait quoi lorsqu’il se cale sur vos genoux et qu’il ronronne ?
- P. : Ça me comble, je me sens comprise.
- Th. : Vous le sentez, là ?...........
Pour lire la suite de l’article et commander la Revue Hypnose & Thérapies Brèves n°64
Madame G.L. est venue consulter initialement suite à un conflit conjugal. Son histoire est marquée par une séparation parentale quand elle avait 5 ans, plusieurs ruptures sentimentales et un antécédent médical de rectocolite hémorragique difficile à vivre. D’emblée, elle me confie qu’elle présente une grosse problématique : le mensonge.
- Patiente : « Docteur, c’est infernal, je ne supporte pas le mensonge et pourtant je n’arrête pas de mentir.
- Thérapeute : Vous ne supportez pas le mensonge et pourtant vous me dites “je n’arrête pas de mentir”, c’est bien ça ? (Reformulation avec le “Je”.)
- P. : Tout à fait, c’est incompréhensible. Je suis une menteuse qui a horreur du mensonge et je ne me supporte plus.
- Th. : Quand vous vous dites : “je suis une menteuse qui a horreur du mensonge et je ne me supporte plus”, pouvez-vous me dire ce que ça vous fait ?
- P. : Ça me fait peur, Docteur, le mensonge me fait peur.
- Th. : Est-ce que ça revient à dire que vous auriez besoin de sécurité ?
- P. : Oui, tout à fait, besoin de sécurité. Ça me renvoie à mon enfance lorsque ma mère me punissait quand j’avais menti. Elle martelait une phrase : “à force de mentir, tu finiras comme dans l’histoire de Gare au loup, on ne te croira plus jamais !”.
- Th. : Et quand vous revoyez cette scène, que voyez-vous ?
- P. : Une petite fille pleine d’énergie qui n’est pas comprise.
- Th. : Hum ! Une petite fille pleine d’énergie qui n’est pas comprise (reformulation simple, je marque un silence)... et ça vous rend triste ou en colère ?
- P. : Plutôt triste, oui ça me rend triste.
- Th. : Et qu’est-ce qu’elle vous dit cette tristesse ?
- P. : Elle me dit que je suis diabolisée et que ce n’est pas juste.
- Th. : Ce n’est pas juste. (Silence.)
- P. : Oui, ce n’est pas juste. (Silence.)
- Th. : Est-ce que ça vous met en colère ?
- P. : Oui.
- Th. : Donc vous êtes à la fois triste et en colère ?
- P. : Oui.
- Th. : Et où se logent-elles cette tristesse et cette colère ? (Je montre le corps de la main.)
- P. :Dans mon ventre, là. (Elle m’indique la zone péri-ombilicale avec sa main.)
- Th. : Là ! (Je montre la même zone sur mon ventre avec ma main... hochement de tête.) Et c’est plutôt agréable ou désagréable ?
- P. : C’est un gros poids très pesant.
- Th. : Et si on mettait ce gros poids très pesant là, quelle forme prendrait-il ? (Je montre l’espace entre nous deux avec mes mains ouvertes vers le haut... Silence.)
- P. : Une forme ? Je ne sais pas. (Rires…)
- Th. : Oui, c’est un peu bizarre comme question. Quelle forme pourrait prendre ce poids qui se loge dans votre ventre ? (Je reproduis le geste en indiquant l’espace qui nous sépare... Silence.)
- P. : Ce serait un ectoplasme.
- Th. : Un ectoplasme ?
- P. : Oui, un ectoplasme tout dégoulinant qui s’infiltre dans la terre. (Gestes des bras et mains qui miment la forme s’étalant dans l’espace entre nous deux et qui se terminent par un “splash !”... Rires...)
- Th. : Splash ! (Je reproduis les gestes en regardant l’espace entre nous... Sourires partagés.) De quoi aurait-il besoin pour être moins pesant ?
- P. : D’amour.
- Th. : Vous pouvez préciser ?
- P. : Il aurait besoin d’amour avec écoute, sécurité.
- Th. : Hum... autre chose ?
- P. : Des bras puissants qui me soutiennent et que je sais qu’ils seront toujours là. (Gestes d’enlacement.)
- Th. : Donc cet ectoplasme aurait besoin pour être moins pesant d’amour avec écoute, sécurité et des bras qui, m’avez vous dit, “me soutiennent et que je sais qu’ils seront toujours là”. (Je reproduis le geste d’enlacement.)
- P. : Oui (avec un grand sourire).
- Th. : Et que deviendrait l’ectoplasme avec tout ça ? (Je regarde l’emplacement de l’ectoplasme.)
- P. : Une boule dure pleine d’énergie.
- Th. : De quelle couleur ?
- P. : Rouge-rose, elle vibre. (Regard vers l’emplacement.)
- Th. :Une boule rouge-rose dure, pleine d’énergie et qui vibre.
- P. : Oui (regards vers la boule imaginaire).
- Th. : Et qu’est-ce qu’elle permet cette boule vibrante ?
- P. : Elle permet de reprendre de l’énergie.
- Th. : Hum... et cette énergie permet quoi ?
- P. :De donner de l’amour à la petite fille.
- Th. : Hum... et cet amour permet ?
- P. : Il permet à la petite fille de rayonner (rires).
- Th. : Et qui ne serait pas étonné de voir la petite fille rayonner ?
- P. : Hum... mon chat... oui, mon chat qui partage toutes mes joies.
- Th. : Comment vous le fait-il savoir ?
- P. : En se calant sur mes genoux avec son ronron.
- Th. : Et ça vous fait quoi lorsqu’il se cale sur vos genoux et qu’il ronronne ?
- P. : Ça me comble, je me sens comprise.
- Th. : Vous le sentez, là ?...........
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Dr ANNE SURRAULT Médecin généraliste dans un petit village côtier en Vendée. Maître de stage des universités de Nantes. Formée en hypnose et thérapies brèves à l’ARePTA en 2019. Ecrivain, conférencière.
Commander la Revue Hypnose & Thérapies Brèves n°64
Au sommaire:
. Edito – Julien BETBÈZE
. Claire ROSSIN – Autohypnose et TOS chez l’enfant anxieux
L’auteure explique comment Noé, 7 ans, souffrant de troubles du sommeil, a pu s’approprier rapidement les outils proposés au cours de la thérapie (7 séances sur 5 mois) et les réinvestir au quotidien pour atteindre une autonomie dans la résolution de ses difficultés.
. Séverine LEJEUNE – Ces histoires qui nous façonnent
L’auteure, pédopsychiatre, nous propose de partager les lettres écrites aux parents, enfants et adolescents, lettres inspirées par les thérapies narratives et qui ont servi de support pour ses appels téléphoniques aux familles pendant le confinement.
. Stéphane OTTIN PECCHIO – Etats de conscience de l’hypnose musicale à l’hypnose artistique. Cet article analyse les états de conscience hypnotiques du point de vue du musicien ou de l’auditeur dans différentes situations : concert classique ou concert-thérapie, séance individuelle ou autohypnose.
.Guy MISSOUM – Success story et entraînement mental. L’auteur explique comment aider le patient à combattre le manque de confiance en soi avec différents moyens qui passent tous par une indispensable connaissance de soi.
. Espace Douleur Douceur - Gérard OSTERMANN – Edito
.Mireille SÉJOURNÉ – Troubles digestifs, hypnose et acupuncture. Gynécologue à la pratique enrichie d’une formation en acupuncture et en Médecine Traditionnelle Chinoise (MTC), l’auteure nous propose une approche qui combine hypnose et MTC appliquée aux troubles digestifs. Clair et simple, le script détaillé dans l’article et appelé ''Harmonie du Papillon'' peut être refait par le patient chez lui, régulièrement.
.Anne SURRAULT – Une parenthèse enchantée avec Gustave. Récit d’une séance de thérapie narrative : carte de l’externalisation. La patiente est venue consulter initialement suite à un conflit conjugal...
.Rachel REY – Anxiété infantile au bloc opératoire. Travaillant depuis quinze ans comme infirmière anesthésiste au bloc opératoire de l’Hôpital d’enfants à Nancy, l’auteure a notamment constaté que murmurer des histoires à l’oreille des enfants à l’induction se révélait extrêmement efficace, car pour entendre sa voix l’enfant doit cesser de pleurer et de se préoccuper de l’agitation ambiante.
Dossier : S’éloigner de la dépression
.Frédéric BERBEN – Prévention de l’épuisement professionnel Les approches intégrées de méditation, d’hypnose, de mouvements psycho-corporels permettent une liberté dans l’endroit où le thérapeute-formateur va poser le levier pour générer un changement. La pluralité des outils autorise davantage de points d’appui adaptés aux différences individuelles des professionnels.
.Nelly CADRA – Métaphores et deuil Léa, 15 ans, vient consulter suite au décès brutal de son père. En ressort le récit de trois séances avec les métaphores utilisées par la pédiatre : le gouffre sans fond ; le tilleul et le chêne ; la souris, le lapin et les elfes.
.Jean-Pierre BOYER – Quels petits mieux pour sortir de la dépression ? Depuis vingt ans l’auteur lie hypnose et approche solutionniste. Il détaille ici la méthode avec pour exemple Geneviève, 35 ans, déprimée, agressive, insomniaque et sujette à des troubles des conduites alimentaires. La « Question Miracle » est bien entendu au centre de l’entretien.
Rubriques . Les champs du possible :
Adrian CHABOCHE – ''Docteur, j’ai enfin échoué !'' .
Quiproquo, malentendu et incommunicabilité : Stefano COLOMBO et MUHUC – Epuisement professionnel... .
Les grands entretiens : Gérard FITOUSSI – Interview de Alain VALLÉE .
Culture Monde : Nicolas D’INCA – Les guérisseurs touaregs.
Crédit Photo: © Marc Gratas
Au sommaire:
. Edito – Julien BETBÈZE
. Claire ROSSIN – Autohypnose et TOS chez l’enfant anxieux
L’auteure explique comment Noé, 7 ans, souffrant de troubles du sommeil, a pu s’approprier rapidement les outils proposés au cours de la thérapie (7 séances sur 5 mois) et les réinvestir au quotidien pour atteindre une autonomie dans la résolution de ses difficultés.
. Séverine LEJEUNE – Ces histoires qui nous façonnent
L’auteure, pédopsychiatre, nous propose de partager les lettres écrites aux parents, enfants et adolescents, lettres inspirées par les thérapies narratives et qui ont servi de support pour ses appels téléphoniques aux familles pendant le confinement.
. Stéphane OTTIN PECCHIO – Etats de conscience de l’hypnose musicale à l’hypnose artistique. Cet article analyse les états de conscience hypnotiques du point de vue du musicien ou de l’auditeur dans différentes situations : concert classique ou concert-thérapie, séance individuelle ou autohypnose.
.Guy MISSOUM – Success story et entraînement mental. L’auteur explique comment aider le patient à combattre le manque de confiance en soi avec différents moyens qui passent tous par une indispensable connaissance de soi.
. Espace Douleur Douceur - Gérard OSTERMANN – Edito
.Mireille SÉJOURNÉ – Troubles digestifs, hypnose et acupuncture. Gynécologue à la pratique enrichie d’une formation en acupuncture et en Médecine Traditionnelle Chinoise (MTC), l’auteure nous propose une approche qui combine hypnose et MTC appliquée aux troubles digestifs. Clair et simple, le script détaillé dans l’article et appelé ''Harmonie du Papillon'' peut être refait par le patient chez lui, régulièrement.
.Anne SURRAULT – Une parenthèse enchantée avec Gustave. Récit d’une séance de thérapie narrative : carte de l’externalisation. La patiente est venue consulter initialement suite à un conflit conjugal...
.Rachel REY – Anxiété infantile au bloc opératoire. Travaillant depuis quinze ans comme infirmière anesthésiste au bloc opératoire de l’Hôpital d’enfants à Nancy, l’auteure a notamment constaté que murmurer des histoires à l’oreille des enfants à l’induction se révélait extrêmement efficace, car pour entendre sa voix l’enfant doit cesser de pleurer et de se préoccuper de l’agitation ambiante.
Dossier : S’éloigner de la dépression
.Frédéric BERBEN – Prévention de l’épuisement professionnel Les approches intégrées de méditation, d’hypnose, de mouvements psycho-corporels permettent une liberté dans l’endroit où le thérapeute-formateur va poser le levier pour générer un changement. La pluralité des outils autorise davantage de points d’appui adaptés aux différences individuelles des professionnels.
.Nelly CADRA – Métaphores et deuil Léa, 15 ans, vient consulter suite au décès brutal de son père. En ressort le récit de trois séances avec les métaphores utilisées par la pédiatre : le gouffre sans fond ; le tilleul et le chêne ; la souris, le lapin et les elfes.
.Jean-Pierre BOYER – Quels petits mieux pour sortir de la dépression ? Depuis vingt ans l’auteur lie hypnose et approche solutionniste. Il détaille ici la méthode avec pour exemple Geneviève, 35 ans, déprimée, agressive, insomniaque et sujette à des troubles des conduites alimentaires. La « Question Miracle » est bien entendu au centre de l’entretien.
Rubriques . Les champs du possible :
Adrian CHABOCHE – ''Docteur, j’ai enfin échoué !'' .
Quiproquo, malentendu et incommunicabilité : Stefano COLOMBO et MUHUC – Epuisement professionnel... .
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