Table des matières du livre
Préface
Introduction
Chapitre 1 – Oui, le corps parle et crie
Des rechutes de maladie de Basedow, des fausses couches à répétition, une guérison pilotée par des auto-anticorps
Une nausée inexplicable avant les règles, un viol masqué
Des lésions cutanéo-muqueuses, un livre ouvert
Cancer du sein gauche, un cœur qui saigne
L’endométriose, une maladie qui parle à certains médecins, mais pas à tous
Deux cancers gynéco puis la mort, une douleur incurable, ... trop profonde et trop forte
Le poids, un enrobage protecteur ?
Cela commence par une « prise de tête », des maladies, puis une prise de parole qui « sème le bazar »
Les dessous de certaines ruptures de courbe staturo-pondérale de l’enfant
Quand stérilité rime avec abus sexuel
Deux ans neuf mois, une infection et une consultation qui laissent un goût amer
Une multitude d’expressions cliniques pour crier l’indicible
Chapitre 2 - Décidé à se faire entendre, le corps peut exprimer une douleur de façon différente, engendrant une escalade de symptômes
La somatisation se superpose dans un premier temps au traumatisme
Le corps s’exprime avec les moyens « du moment », expliquant l’importance du profil hormonal chez les femmes
L’intensité de la souffrance pourrait bien être proportionnelle à l’ancienneté du traumatisme, à la gravité de la maladie ou aux handicaps qui en résultent ...
... ce d’autant plus que « l’extinction sensitive » ne favorise pas la mise en relation du corps et de l’esprit
Chapitre 3 – Guérir, un vrai travail, un dépouillement, une mise à nu de l’âme
Tout commence par intégrer une histoire le plus souvent occultée, qu’il faut accepter
Prendre la mesure de l’ampleur des dégâts
Expulser le traumatisme et ses conséquences
Chapitre 4 – Pourquoi toute cette violence ?
Un degré de violence mal évalué qui ne favorise pas la prise de conscience nécessaire à un traitement efficace du problème
Une ampleur sous estimée
Et si un certain nombre de théories entraînaient de la confusion dans la compréhension du problème ?
La violence est un cercle vicieux qui perpétue la violence et qu’il faut casser en s’attaquant aux « racines de la violence »
Et pourquoi donc cette omerta ?
Chapitre 5 – Quelles solutions ?
Ouverture
Schéma 1 : axe thyroïdien
Bibliographie
Préface
Introduction
Chapitre 1 – Oui, le corps parle et crie
Des rechutes de maladie de Basedow, des fausses couches à répétition, une guérison pilotée par des auto-anticorps
Une nausée inexplicable avant les règles, un viol masqué
Des lésions cutanéo-muqueuses, un livre ouvert
Cancer du sein gauche, un cœur qui saigne
L’endométriose, une maladie qui parle à certains médecins, mais pas à tous
Deux cancers gynéco puis la mort, une douleur incurable, ... trop profonde et trop forte
Le poids, un enrobage protecteur ?
Cela commence par une « prise de tête », des maladies, puis une prise de parole qui « sème le bazar »
Les dessous de certaines ruptures de courbe staturo-pondérale de l’enfant
Quand stérilité rime avec abus sexuel
Deux ans neuf mois, une infection et une consultation qui laissent un goût amer
Une multitude d’expressions cliniques pour crier l’indicible
Chapitre 2 - Décidé à se faire entendre, le corps peut exprimer une douleur de façon différente, engendrant une escalade de symptômes
La somatisation se superpose dans un premier temps au traumatisme
Le corps s’exprime avec les moyens « du moment », expliquant l’importance du profil hormonal chez les femmes
L’intensité de la souffrance pourrait bien être proportionnelle à l’ancienneté du traumatisme, à la gravité de la maladie ou aux handicaps qui en résultent ...
... ce d’autant plus que « l’extinction sensitive » ne favorise pas la mise en relation du corps et de l’esprit
Chapitre 3 – Guérir, un vrai travail, un dépouillement, une mise à nu de l’âme
Tout commence par intégrer une histoire le plus souvent occultée, qu’il faut accepter
Prendre la mesure de l’ampleur des dégâts
Expulser le traumatisme et ses conséquences
Chapitre 4 – Pourquoi toute cette violence ?
Un degré de violence mal évalué qui ne favorise pas la prise de conscience nécessaire à un traitement efficace du problème
Une ampleur sous estimée
Et si un certain nombre de théories entraînaient de la confusion dans la compréhension du problème ?
La violence est un cercle vicieux qui perpétue la violence et qu’il faut casser en s’attaquant aux « racines de la violence »
Et pourquoi donc cette omerta ?
Chapitre 5 – Quelles solutions ?
Ouverture
Schéma 1 : axe thyroïdien
Bibliographie
Le Dr Violaine Guérin est endocrinologue et gynécologue médicale.
Jeune étudiante à l’hôpital Necker, elle s’intéresse rapidement à la médecine interne et à l’immunologie. Interne en médecine, elle se passionne pour les maladies auto-immunes, ces pathologies très particulières qui se caractérisent par la destruction d’un ou plusieurs organes d’un être humain par ses propres anticorps.
En 1987, elle travaille à Londres dans l’équipe de recherche du Professeur Ivan Roitt, qui a découvert avec Deborah Doniach en 1956 l’existence des auto-anticorps anti-thyroïdiens. Ses travaux de recherche la conduisent à réaliser sa thèse de médecine sur les dysthyroïdies auto-immunes qu’elle considère comme son sujet d’expertise en médecine.
Ses travaux se poursuivent par un DEA et une thèse de sciences, finalement non soutenue, sur la compréhension des facteurs influençant l’auto-immunité. C’est une plongée dans le monde de la psycho-endocrino-immunologie qui lui fait appréhender les patients dans une dimension très élargie.
Jeune étudiante à l’hôpital Necker, elle s’intéresse rapidement à la médecine interne et à l’immunologie. Interne en médecine, elle se passionne pour les maladies auto-immunes, ces pathologies très particulières qui se caractérisent par la destruction d’un ou plusieurs organes d’un être humain par ses propres anticorps.
En 1987, elle travaille à Londres dans l’équipe de recherche du Professeur Ivan Roitt, qui a découvert avec Deborah Doniach en 1956 l’existence des auto-anticorps anti-thyroïdiens. Ses travaux de recherche la conduisent à réaliser sa thèse de médecine sur les dysthyroïdies auto-immunes qu’elle considère comme son sujet d’expertise en médecine.
Ses travaux se poursuivent par un DEA et une thèse de sciences, finalement non soutenue, sur la compréhension des facteurs influençant l’auto-immunité. C’est une plongée dans le monde de la psycho-endocrino-immunologie qui lui fait appréhender les patients dans une dimension très élargie.